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  • L'Express - Piketty, Hulot, Montebourg... Les bonnes fées d'Hamon

    C'est par centaines que les experts et personnalités se pressent autour de Benoît Hamon pour lui proposer leurs services.

    Le candidat du Parti socialiste, Benoît Hamon, va s'appuyer sur l'économiste Thomas Piketty pour les questions européennes. Depuis la fin de la primaire, 400 experts et intellectuels ont discrètement proposé leurs services. Côté personnalités, Nicolas Hulot, qui s'est rapproché de Benoît Hamon (un coup dur pour Jean-Luc Mélenchon, dont l'animateur télé était proche), va être mis en avant.

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  • France Inter, La marche de l'histoire - La gauche divisée en quatre : la présidentielle de 1969

    1969 : bousculé par les mouvements de mai, le général De Gaulle est battu lors du référendum qu'il avait lui-même proposé. A gauche, plusieurs candidats sont prêts à lui succéder.

    Nous sommes encore dans l’ombre portée de mai 68. Le général de Gaulle a été bousculé par le mouvement de la jeunesse, et par l’immense grève qui l’a accompagné. Puis moins d’un an après, voilà qu’il est battu, par 52% des suffrages, au referendum qu’il avait proposé. Il démissionne, et s’inscrit alors dans les étranges lucarnes le visage bonhomme et néanmoins inquiet du président du Sénat qui va assurer l’interim.

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  • OFCE - L’économie européenne 2017, ou l’UE après le Brexit

    2 février 2017

    par Jérôme Creel

    L’économie européenne 2017 permet de faire un large tour d’horizon des questions que pose aujourd’hui le projet d’Union européenne. Brexit, migrations, déséquilibres, inégalités, règles économiques rigides et souples à la fois : l’UE reste une énigme. Elle donne aujourd’hui l’impression d’avoir perdu le fil de sa propre histoire et d’aller à rebours de l’Histoire. Celle, récente, de la crise financière internationale. Celle, plus ancienne, de la Grande Dépression.

    Quelques mois après la faillite de la banque Lehman Brothers, les chefs d’Etat et de gouvernement réunis à Londres pour le sommet du G-20 en avril 2009 avaient établi une liste de recommandations pour relancer l’économie mondiale. Parmi celles-ci figuraient la mise en œuvre de politiques budgétaires et monétaires actives, le soutien aux banques assorti d’une meilleure réglementation bancaire, le refus de la tentation protectionniste, la lutte contre les inégalités et la pauvreté et le soutien au développement durable.

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  • Jean-Christophe Cambadélis : "François Hollande va être obligé de s'exprimer" avant la présidentielle

    Sur Europe 1, le premier secrétaire du Parti socialiste a estimé que François Hollande allait devoir "s’exprimer" publiquement, jugeant que "la présidentielle part dans tous les sens".

    INTERVIEW

    "La présidentielle est introuvable". C’est le constat dressé mercredi sur Europe 1 par Jean-Christophe Cambadélis, qui s’inquiète d’une possible victoire de Marine Le Pen en avril-mai prochain. "François Hollande va être obligé de s’exprimer", estime le premier secrétaire du Parti socialiste.

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  • Observatoire des inégalités - Hétérosexuels et homosexuels : histoire d’une lente évolution vers l’égalité

    3 février 2017 - Jusqu’en 1990, l’homosexualité était considérée comme une maladie mentale par l’Organisation mondiale de la santé. Histoire d’une lente évolution vers l’égalité.

    Le droit d’être homosexuel

    L’homosexualité n’a été supprimée qu’en 1990 de la liste internationale des maladies mentales par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Encore aujourd’hui, 72 pays sur 194 [1] condamnent les relations homosexuelles par des peines de prison, des travaux forcés ou encore par la torture [2]. Dans treize pays, l’homosexualité est même encore passible de la peine de mort. À l’inverse, de nombreux pays ont adopté des textes de loi qui protègent des discriminations en raison de l’orientation sexuelle. 22 pays ont légalisé le mariage des couples homosexuels.

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  • Lyon Capitale - David Kimelfeld : “Si la sanction doit tomber, ça tombera”

    Jean-Christophe Cambadélis a annoncé ce mardi que ceux qui parraineraient Emmanuel Macron “ne seraient plus au Parti socialiste”. Le premier secrétaire du PS a aussi dit qu’il sanctionnerait “sans problème” Gérard Collomb, car “on ne peut pas être à la fois dans l’équipe du Parti socialiste et parrainer l’équipe adverse”. Comme le maire de Lyon, David Kimelfeld, premier secrétaire de la fédération PS du Rhône, est pleinement concerné par cette situation puisqu’il milite activement pour le candidat En Marche. Il a répondu aux questions de Lyon Capitale.

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  • Le Monde - Jean-Christophe Cambadélis dénonce les affaires qui sont en train de « pourrir la présidentielle »

    Sur LCP, le premier secrétaire du Parti socialiste déclare redouter « le même climat qu’aux Etats-Unis, avec Marine Le Pen dans le rôle de Donald Trump ».
     
    Jean-Christophe Cambadélis a poursuivi, mercredi 8 février, ses attaques contre François Fillon en s’exclamant : « Je ne voudrais pas être cruel mais imagine-t-on le général de Gaulle conseiller rémunéré des multinationales ? » Le premier secrétaire du Parti socialiste, invité de l’émission « Questions d’info » sur LCP en partenariat avec Le Monde, France Info et l’AFP faisait allusion au travail de conseil effectué par l’ancien premier ministre entre 2012 et 2016 pour différentes entreprises, notamment Axa ou Fimalac.
     
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  • L'actualité des socialistes du 27 janvier au 2 février (revue de presse hebdomadaire)

    A LA UNE : L'INVESTITURE

    Libé - Investi par le PS, Hamon ne change pas de ligne

    Le vainqueur de la primaire a prononcé ce dimanche à Paris son premier discours de candidat. S’il a fait applaudir François Hollande et donné quitus à une partie du bilan du quinquennat, il n’a rien changé à ses propositions de campagne.

    L'Obs - Investi par le PS : le petit diviseur Hamon se fait grand rassembleur

    Officiellement investi ce dimanche à Paris, l'éternel minoritaire du PS a voulu démontrer qu'il était désormais en capacité de constituer une majorité.

    Le Figaro - Hamon espère surfer sur une dynamique positive

    Porté par des sondages à sa faveur, Benoît Hamon se garde d'incarner « l'homme providentiel ». Figure qu'il laisse à ses deux concurrents, Jean-Luc Mélenchon à sa gauche et Emmanuel Macron à sa droite.

    «Avec lui, la gauche est de retour!» Au micro, le jeune militant qui introduit Benoît Hamon pour son discours d'investiture, dimanche matin, s'emballe un peu. Il hurle presque. Les drapeaux volent dans les premiers rangs et les 2500 militants annoncés sont debout.

    Le Monde - Benoît Hamon insiste sur l’indispensable rassemblement d’une gauche éclatée

    Une semaine après sa nette victoire à la primaire à gauche, l’ancien ministre de l’éducation a été officiellement investi dimanche à la Mutualité, à Paris.

    Il se lève, front plissé, inimitables sourcils circonflexes et long sourire amusé, alors que les 2 000 militants socialistes rassemblés à la maison de la Mutualité, à Paris, agitent des drapeaux multicolores et s’époumonent : « Benoît président, Benoît président ! » Le président de la haute autorité de la primaire, Thomas Clay, vient d’annoncer sans rire (mais il fait rire la salle) les « résultats définitifs » du scrutin des 22 et 29 janvier, avant de déclarer « officiellement » lancée la campagne du candidat de la Belle Alliance populaire à l’élection présidentielle.

    France Inter - Benoît Hamon officiellement investi, le PS commence à y croire

    Benoît Hamon a prononcé ce dimanche son discours d'investiture en vue de la présidentielle, s'adressant tour à tour aux ténors duPS, à Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon.

    Sud Ouest - Benoît Hamon, un candidat qui bouscule les codes ?

    Parti avec l’intention de donner un coup de pied à "la vieille politique", Benoît Hamon cherche à sortir de l’institutionnel, quitte à donner dans l’autodérision

    Investi candidat dimanche par le PS, Benoît Hamon a adopté depuis son entrée en campagne un style décontracté mâtiné d’autodérision qu’il entend bien imposer comme sa vision – frondeuse – de la présidentialité.

    Le Monde - Benoît Hamon investi par le PS après sa victoire à la primaire à gauche

    Une semaine après sa nette victoire à la primaire PS élargie, Benoît Hamon a été officiellement investi dimanche à la Mutualité.

    Une semaine après sa nette victoire à la primaire PS élargie, Benoît Hamon a été officiellement investi dimanche 5 février à la Mutualité par le Parti socialiste (PS) qui se prend à rêver d’accéder au second tour de la présidentielle, sans toutefois être totalement rassemblé.
     

    Sept jours après sa victoire triomphante à la primaire de la Belle Alliance populaire, Benoît Hamon entre dans le vif du sujet. Pour lui, tout démarre réellement ce dimanche 5 février, jour de son investiture par le Parti socialiste. Le député des Yvelines, qui a placé le curseur à gauche pendant la primaire, contrastant ainsi avec la politique sociale-libérale de l'ancien premier ministre Manuel Valls, est dans une position loin d'être confortable. Le succès électoral du quadragénaire n'a pas suffi à rassembler les Éléphants, qui marchent en ordre dispersé.

    L'Obs - Convention d'investiture : le rite de passage de Benoît Hamon

    A la Mutualité, le vainqueur de la primaire de la "Belle alliance populaire" sera officiellement investi candidat à l'élection présidentielle. Devant les caciques du parti mais en l'absence des ténors du gouvernement...

    FABIEN ESCALONA

    Le Monde - Fabien Escalona : « Le défi de Hamon, asseoir sa domination sur le Parti socialiste »

    Politiste et spécialiste de la social-démocratie, Fabien Escalona analyse les enjeux de la victoire de Benoît Hamon à la primaire socialiste.

    Politiste et chercheur à Sciences Po Grenoble, spécialiste de la social-démocratie, Fabien Escalona analyse la percée de Benoît Hamon à la primaire socialiste, dimanche 29 janvier, et ses enjeux pour le Parti socialiste (PS) et pour la gauche. Il estime notamment que « Hamon a réussi à incarner une forme de réhabilitation des valeurs de la gauche ».
     
    LYON
     
     
    Tout le monde n’a pas succombé à la Macron- mania à Lyon. Deux camps s’affrontent désormais chez les socialistes.
     
    Le maire de Lyon, soutien historique d’Emmanuel Macron, a embarqué dans l’aventure bon nombre de ses amis politiques lyonnais. Il y a là trois députés investis par le Parti socialiste (Anne Brugnera, Jean-Louis Touraine, Hubert Julien-Laferrière), le premier adjoint Georges Képénékian, ou encore David Kimelfeld, maire du 4e arrondissement et, surtout, premier secrétaire fédéral du parti à la rose. Autre prise, quelques jours plus tard, Jean-Yves Sécheresse, président du groupe socialiste au conseil municipal de Lyon.
     
     
    Malgré un appel au boycott lancé par une partie des socialistes lyonnais, la gauche s'est rendue aux urnes. Et a offert une large victoire à Benoît Hamon.
    À Lyon, fief macroniste, les électeurs ont retrouvé le chemin des urnes dimanche. De longues et patientes files se sont étirées devant les bureaux de vote, améliorant de près d'un quart la participation du 22 janvier. Le député socialiste Yves Blein, organisateur de la primaire dans le Rhône, depuis que le secrétaire fédéral du PS, David Kimelfeld, a pris fait et cause pour Emmanuel Macron, n'a pas caché sa satisfaction devant les chiffres de la mobilisation. « Sur Lyon, la participation est en hausse de 23 % et 24 % par rapport au premier tour », se félicite-t-il. « J'ai toujours pensé qu'il y avait des appels qui n'étaient pas utiles. Quand les gens ont envie d'aller voter, eh bien, ils votent. »
     
     
    Le meeting d'Emmanuel Macron à Lyon va résonner comme un coup de clairon pour tous les membres du PS du Rhône qui soutiennent déjà le candidat En Marche. Pourtant, d'irréductibles socialistes résistent toujours à l'appel de l'ancien ministre de l'Économie et des Finances et soutiennent encore le candidat du PS, Benoît Hamon. Hamon ou Macron ? Qui soutient qui ? Petit tour d'horizon des candidats investis par le PS dans le Rhône.
     
     
    Nathalie Perrin-Gilbert a lancé ce jeudi sa campagne dans la 2e circonscription du Rhône. Etaient présentes Isabelle Attard, une députée citoyenne du Calvados, et la candidate à la présidentielle Charlotte Marchandise, mais l’occasion a surtout permis d’écouter les propositions des militants.
     
     
    Plusieurs élus PS de la région Auvergne-Rhône-Alpes qui avaient soutenu Valls à la primaire de la gauche ont apporté leur soutien officiel à Benoît Hamon. Parmi eux, Olivier Bianchi, le maire de Clermont-Ferrand, Jean-Paul Bret, celui de Villeurbanne, et Jean-François Debat, maire de Bourg-en-Bresse et président du groupe socialiste au conseil régional.
     
    SONDAGES
     
     
    .... L’enseignement le plus spectaculaire c’est le décollage de Benoît Hamon dans les sondages. Le candidat victorieux de la primaire de gauche connaît un inattendu état de grâce. En un mois, il multiplie par trois son score passant de 6 à 18% ! Un score inimaginable encore il y a quelques jours. Confronté au défi du rassemblement des socialistes, l’ancien ministre de François Hollande est en train de réussir la synthèse de la « vieille gauche », celle qui va des communistes aux écolos et aux socialistes purs et durs. Le député des Yvelines ringardise Jean-Luc Mélenchon. Le candidat de « la France insoumise » décroche passant de 14 à 9%. A la veille de sa rencontre avec François Hollande, Benoît Hamon a l’occasion de rassurer les socialistes et retenir les députés tentés par l’aventure Macron.
     
     
    Depuis notre dernier point sondage, la victoire de Benoît Hamon à la primaire de la gauche et l’affaire Penelope à droite ont totalement rebattu les cartes… y compris auprès de l'électorat jeune.

    A deux mois et demi du premier tour de l’élection présidentielle, la nouvelle étude Elabe(*) pour Les Echos, publiée ce 1er février, jette un pavé dans la marre. A droite François Fillon dégringole, de même que Jean-Luc Mélenchon, qui trouve en Benoît Hamon un sérieux concurrent sur ces terres…

    Huffington Post - Benoît Hamon supplante Emmanuel Macron comme personnalité politique préférée des Français [EXCLUSIF]

    La primaire de gauche est en revanche fatale à Manuel Valls qui intègre le flop 5. François Hollande perd, quant à lui, deux points.

    L'enquête a été réalisée avant le second tour de la primaire de la gauche. Mais même avant sa très nette victoire, Benoît Hamon avait séduit au-delà de son camp, si l'on regarde la vague de février du baromètre YouGov pour Le HuffPost et iTélé. Le député des Yvelines est ainsi devenu la personnalité politique préférée des Français.

    HAMON

    Le Monde - Benoît Hamon, un candidat encore en rodage

    Le candidat du Parti socialiste s’est rendu, vendredi 3 février, en Moselle. Après sa victoire à la primaire à gauche, le 29 janvier, il doit désormais passer du rêve à la réalité.

    A peine débarqué en gare de Metz, vendredi matin, Benoît Hamon est pris au pied de la lettre par les passants qui le reconnaissent. « Monsieur Hamon, si vous donnez les 750 euros, je dis chapeau ! », le hèle un homme dans le hall du bâtiment. « Monsieur Hamon, j’ai voté pour vous », lui lance un autre sur le parvis. « Merci, c’est cool », lui répond le candidat. « Oui, mais tenez vos promesses, hein ? », le presse son interlocuteur.
     

    Benjamin des candidats PS à la présidentielle sous la Ve République, le vainqueur de la primaire de gauche reste perçu, à 49 ans, comme un jeune en politique. Une idée renforcée par sa volonté de mettre les nouvelles générations au centre de son projet.

    Le Lab - Investitures PS : Benoît Hamon refuse d'"offrir des têtes" à Jean-Luc Mélenchon

    Benoît Hamon saura-t-il rassembler la gauche du PS derrière lui pour former un "accord de majorité" ? Si l’affaire ne devrait pas poser de problème pour Yannick Jadot (EELV), elle semble plus compliquée pour Jean-Luc Mélenchon.

    Le candidat socialiste à la présidentielle Benoît Hamon a affirmé jeudi 2 février ne pas vouloir "offrir des têtes", après que le candidat de La France insoumise lui a réclamé de retirer des investitures aux législatives, notamment celles de Myriam El Khomri et Manuel Valls.

    Libé - Le projet de Hamon testé par la génération système D

    Depuis la victoire de Benoît Hamon, certains observateurs et responsables politiques disent ne pas comprendre ce qui a bien pu se passer pour que des «hommes et des femmes de gauche» fassent «le choix du passé», de «l’utopie», plutôt que celui du «réalisme» de la gauche qui gouverne, incarné par Manuel Valls. Alors, comme dans l’entre-deux-tours, les voilà qui pilonnent les propositions de Hamon, et les disqualifient parce qu’«utopistes».

    Boursorama - Investitures PS: Hamon contre l'idée d'"offrir des têtes" à Mélenchon

    Le candidat socialiste à la présidentielle Benoît Hamon a affirmé jeudi soir ne pas vouloir "offrir des têtes", après que Jean-Luc Mélenchon lui a réclamé de retirer des investitures aux législatives, notamment celles de Myriam El Khomri et Manuel Valls.

    A un internaute qui lui demandait s'il était toujours favorable à la candidature de la ministre du Travail aux législatives, Benoît Hamon, qui se livrait à un direct sur Facebook, s'est refusé à la remettre en cause, en tant que "garant et architecte de l'unité de la gauche".

    Le Monde - Après son entretien avec François Hollande, Benoît Hamon entend se «tourner vers l’avenir»

    Le candidat du Parti socialiste à l’élection présidentielle s’est entretenu pendant environ une heure mercredi 1er février, à l’Elysée, avec le président de la République.

    Benoît Hamon a expliqué, jeudi 2 février, qu’il entendait se « tourner vers l’avenir », à l’issue de sa rencontre à l’Elysée avec François Hollande. Le candidat du Parti socialiste a assuré que celle-ci ne constituait pas un « passage de témoin ». M. Hollande a reçu son ancien ministre pendant environ une heure en tête à tête dans son bureau, selon l’Elysée.

    Libé - De Hollande à Mélenchon, Hamon doit rassembler sans ressembler

    Le candidat socialiste tout juste désigné a rendez-vous jeudi à l'Elysée. Il peut s'appuyer sur de bons sondages pour réunir toutes les tendances de la gauche sans trahir ses promesses.

    D’un côté, François Hollande, de l’autre Jean-Luc Mélenchon : Benoît Hamon se pose au centre du jeu. Quelques jours après sa large victoire à la primaire de la Belle Alliance populaire (58,7 %) et boosté par de premières intentions de vote très favo­rables – qui le placent au coude à coude avec Fillon et Macron pour la deuxième place en 2017 – il poursuit son petit tour des gauches avant son discours d’investiture de dimanche matin. Au programme : «rassembler» son camp et donner la parole à des intervenants extérieurs au PS.

    Lyon Capitale - Région : des élus “vallsistes” apportent leur soutien à Benoît Hamon

    Plusieurs élus PS de la région Auvergne-Rhône-Alpes qui avaient soutenu Valls à la primaire de la gauche ont apporté leur soutien officiel à Benoît Hamon. Parmi eux, Olivier Bianchi, le maire de Clermont-Ferrand, Jean-Paul Bret, celui de Villeurbanne, et Jean-François Debat, maire de Bourg-en-Bresse et président du groupe socialiste au conseil régional.

    Libé - A gauche, Benoît Hamon et Yannick Jadot toujours plus proches

    Si aucune décision de ralliement à Benoît Hamon n'a été prise pour l'heure chez les Verts, ce dernier et le candidat EE-LV, dont les programmes convergent, se sont rencontrés ce mardi.

    Mediapart - Benoit Hamon: chronique d’un renoncement annoncé Par Olivier Tonneau

    Puisque de toute évidence il n'y aura pas d'union "Hamon, Jadot, Mélenchon", nous revoilà face à la question déprimante: quel est le vote utile? Je ne crois pas que Hamon soit celui-là, pour trois raisons. L’une a trait à sa stratégie européenne, la seconde à sa stratégie parlementaire et la dernière à ses agissements de "frondeur".

    CHEVENEMENT

    Libé - Jean-Pierre Chevènement : il faut «mener une lutte culturelle» contre le salafisme

    Légiférer contre la mouvance rigoriste n’est pas la bonne méthode, selon le président de la Fondation pour l’islam de France, confiant sur la pérennité de son institution.

    En fonction depuis deux mois, le président de la Fondation pour l’islam de France, Jean-Pierre Chevènement, sait déjà où il va. «Il faut distinguer l’islam traditionnel et le salafisme», a plaidé Jean-Pierre Chevènement, intervenant jeudi devant une cinquantaine de décideurs, à l’Institut Diderot, un cercle de réflexion.

    HAMON/MONTEBOURG
     

    Les deux candidats ont été concurrents lors de la primaire de la gauche, mais pas seulement. Ils entretiennent aussi une amitié longue de quinze ans.

    Ils ont beau s'être affrontés pendant la primaire de la gauche, l'amitié ne semble pas entachée. Benoît Hamon et Arnaud Montebourg mettent tous les deux en avant leur amitié dans leurs discours. Avant l'officialisation des résultats du second tour de la primaire de la gauche, le candidat du "made in France" a affirmé qu'il était "disponible" et qu'il ferait ce que Benoît Hamon lui demande.

    VALLS

     
    Le finaliste de la primaire à gauche a mis en garde ses proches.

    Après la victoire de Benoît Hamon à la primaire à gauche, le Parti socialiste se doit d'éviter l'implosion. C'est en résumé ce qu'a soufflé Manuel Valls à ses soutiens réunis à Paris ce mardi 31 janvier. Le finaliste de la primaire à gauche les a appelé à rester "ensemble" et à ne pas aller "ailleurs", dans un appel transparent à rester au Parti socialiste plutôt que de rejoindre Emmanuel Macron.

    TAUBIRA

    Le JDD - Taubira : "La voix de Hamon est un vrai renouvellement"

    Dans une interview aux Inrocks à paraître mercredi, Christiane Taubira revient en quelques mots sur la campagne présidentielle. L'ancienne ministre évoque Benoît Hamon et l'importance "de dire que la droite et la gauche, c'est différent". 

    PAUL ALLIES

    Mediapart - Contre le pouvoir présidentiel, une nouvelle République, Par Edwy Plenel

    Contributeur du Club de Mediapart depuis l'origine, Paul Alliès, président de la Convention pour la Sixième République (C6R), publie aux éditions Don Quichotte un livre issu de ses chroniques. Ce "rêve d'autre chose" est l'outil indispensable pour accompagner la refondation démocratique qu'appelle l'actuelle crise de régime. C'est pourquoi j'ai accepté de le préfacer. Préface que voici.
     
    REVENU UNIVERSEL
     

    Cynthia Fleury est philosophe. Accorder à chaque citoyen majeur sans condition, un revenu mensuel avoisinant les 700 euros, c’est la mesure que défendrait Cynthia Fleury si elle était présidente.

    Pour elle, il s’agit de "repenser un nouvel acte de l’Etat Providence, comme il y a eu la Sécurité Sociale en son temps". "Cet acte, poursuit-elle, doit se fonder sur un rapport tout à fait différent au travail sachant qu’il y aura toujours du travail mais il n’y aura pas toujours d’emploi…"

    Le blog de T.Piketty - Notre revenu universel est-il vraiment universel?

    Suite à l’appel « Pour un revenu universel crédible et audacieux » lancé la semaine dernière par une dizaine de chercheurs (Antoine Bozio, Thomas Breda, Julia Cagé, Lucas Chancel, Elise Huillery, Camille Landais, Dominique Méda, Emmanuel Saez, Tancrède Voituriez), nous avons reçu de très nombreux encouragements, et aussi bien sûr des questions et des demandes d’éclaircissements. A commencer par celle-ci : le système de revenu universel que nous proposons est-il vraiment universel, dans la mesure où nous ne défendons pas l’idée d’une allocation mensuelle identique versée à chacun ? La question est légitime et je voudrais y répondre ici le plus clairement possible.

     
  • Questions de communication - Julia Cagé, Sauver les médias. Capitalisme, financement participatif et démocratie

    Julia Cagé, Sauver les médias. Capitalisme, financement participatif et démocratie, Paris, Éd. Le Seuil/Éd. La République des idées, 2015, 128 pages

    Il y a eu la baisse et le vieillissement du lectorat, les craintes et les espoirs suscités par le développement de l’internet, les hésitations et les désillusions de la recherche de nouveaux modèles économiques, les errements du tout gratuit et la nouvelle concurrence des pure players, le mercato des dirigeants et la valse des actionnaires. Chaque fois que les médias font la une, c’est pour ajouter un couplet à la longue litanie d’une crise qui semble toujours pouvoir trouver de nouvelles formes. Les années 2010 n’ont pas été avares en bouleversements du paysage médiatique : arrêt de France Soir et de La Tribune (même si cette dernière a été relancée sous une autre forme depuis), changement de propriétaire au Monde et au Nouvel Observateur, même opération accompagnée d’un conflit social à Libération, redressement judiciaire de Nice Matin. 2014, et surtout 2015, ont vu la reprise, à un rythme soutenu, d’un mouvement de concentration au profit d’acteurs venus non plus, comme autrefois, de l’industrie (Serge Dassault, Arnaud Lagardère), mais des télécoms (Xavier Niel, Patrick Drahi) ou de la finance (Matthieu Pigasse). Le tout dans un contexte de baisse continue des ventes de journaux et du chiffre d’affaires de la publicité que ne compense pas la diffusion numérique de la presse, et qu’accompagnent des plans de licenciements toujours plus nombreux.

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  • « Le coup d’État citoyen » : la Cité des livres d’Elisa Lewis et Romain Slitine