Web Analytics

compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • La France contre la bombe À propos de : Florent Pouponneau, La politique française de non-prolifération nucléaire. De la division du travail diplomatique, P.I.E. Peter Lang

    En quarante ans, la France est devenue un ardent défenseur de la non-prolifération nucléaire, moins par pacifisme que par choix tactique. Dans la compétition internationale, cette position est aussi une manière de contester l’hégémonie américaine.

     
    Recensé : Florent Pouponneau, La politique française de non-prolifération nucléaire. De la division du travail diplomatique, Bruxelles, P.I.E. Peter Lang, 2015, 255 p., 46€.

    La question de la non-prolifération nucléaire occupe une place prépondérante dans les agendas politiques internationaux : en témoignent ses régulières apparitions dans les discours de chefs d’État, à l’ordre du jour du Conseil de Sécurité des Nations Unies, ou en une de la presse internationale. Au nom de la sécurité globale, les transferts de connaissance et de technologies nucléaires font l’objet de régulations dont la violation peut conduire à des sanctions économiques, voire militaires.

    Lire la suite
    _____________________
    _____________________

  • Jean Gadrey - S’intéresser aux coûts économiques des inégalités : un piège politique et éthique ?

    C’est en tout cas ce que laissent entendre le titre (« Discriminations : le piège du calcul économique ») et la conclusion de l’article de Marc Chevalier, rédacteur en chef adjoint d’Alternatives économiques, sur l’excellent site AlterEcoPlus. La conclusion s’appuie sur les jugements sévères de deux personnes dont j’apprécie beaucoup les travaux, Hélène Périvier (économiste à l’OFCE) et Réjane Sénac, avec qui j’ai déjà eu une controverse non polémique sur le même sujet : voir cet article sur le site de l’Observatoire des inégalités.

    Il est vrai que l’article de Marc Chevalier est principalement dédié au récent rapport de France Stratégie sur le « coût économique des discriminations » éducatives et professionnelles. On y trouve des résultats assez spectaculaires, surtout en ce qui concerne l’impact négatif des discriminations professionnelles entre les femmes et les hommes sur le PIB et sur les comptes publics. Or ce rapport, sur lequel je reviendrai, est à la fois digne d’intérêt et digne de critiques. Un seul exemple : considérer que les moins bons résultats scolaires des garçons par rapport aux filles relèvent d’une discrimination dont ces pauvres garçons seraient victimes est pour le moins original et inédit ! Je n’ose imaginer les bonds que ferait, s’il apprenait cette nouvelle, mon vieil ami Christian Baudelot, auteur avec Roger Establet du livre « Allez les filles » en 1992…

    Lire la suite
    ______________________
    ______________________

  • Le grand mythe de la baisse massive du nombre de fonctionnaires Par Olivier Passet - Directeur des synthèses, Xerfi

  • Valls appelle la gauche au rassemblement en vue de la présidentielle

    Le premier ministre a souligné la difficulté de l’élection à venir, estimant que l’union de la gauche était cruciale pour l’emporter au second tour.
     
    Au cours d’un discours prononcé samedi 22 octobre à Tours, devant des militants socialistes, le premier ministre Manuel Valls a appelé la gauche à se rassembler, en soulignant l’urgence de l’union pour être présent au second tour de l’élection présidentielle.
     
    Lire la suite
    __________________
    __________________

  • L'actualité des socialistes du 14 au 20 octobre

    A LA UNE

    La Revue politique et parlementaire, Laurent Bouvet - La République au défi de la représentation des différences identitaires

    Malgré la multiplication des allusions et usages des termes « communautarisme » et « multiculturalisme », l’oreille républicaine française n’y est pas encore habituée. Elle y semble en tout cas plus rétive que d’autres, anglophones en particulier.

    Au-delà des mots eux-mêmes, domine le sentiment que la France, comme État et comme société, a du mal à se faire à la représentation d’identités culturelles différenciées dans l’espace public. Comme si la nature même du lien social et de la communauté politique « à la française » faisait écran à la mise en évidence ou en exergue de différences que l’on peut désigner comme « identitaires », c’est-à-dire d’origine ethno-raciale, de genre, d’orientation sexuelle, religieuse, etc. Cette « exception française » s’incarne dans un républicanisme à vocation universelle et à consistance laïque dont le cœur bat au rythme d’un humanisme civique et égalitaire, aveugle à de telles différences dès lors qu’il s’agit d’espace public.

    EMMANUEL MAUREL

    L'Opinion - Emmanuel Maurel: «Confidences pour confidences»

    « Qu’elles soient volontaires ou dérobées, qu’elles mettent en valeur ou au contraire accablent et accusent, les confidences répondent toutes au même objectif, celui de cerner l’homme (la femme) politique dans sa “vérité” intime. »

    Décidément, l’heure est aux confidences. Celles, soutirées avec bienveillance, à la faveur d’un dialogue « cosy » sur le canapé chic de Karine Le Marchand. Celles recueillies dans les nombreux livres d’entretiens tous plus « exclusifs » les uns que les autres, que le Président accorde, avec une stupéfiante prodigalité, aux journalistes. Celles enfin, et c’est plus choquant, qui sont attrapées au vol (c’est le cas de le dire) par l’entremise d’un vilain petit magnétophone dissimulé dans une poche de veston ou d’un SMS gardé par-devers soi comme un trésor toxique.

    JEUNESSE

    Altereco - Le mauvais procès fait aux dispositifs jeunes, Marc Chevallier

    Les magistrats de la Cour des comptes ont le sens du timing : le 5 octobre, alors que la ministre du Travail Myriam El Khomri venait une semaine plus tôt de lancer une concertation sur l’insertion professionnelle des jeunes avec les partenaires sociaux et les organisations de jeunesse, l’institution de la rue Cambon a dégainé un copieux rapport critiquant vertement les dispositifs d’aide à l’emploi des jeunes. Très nombreux, mis en œuvre par de multiples acteurs (une trentaine rien que pour la région Rhône-Alpes par exemple) sans véritable pilotage, ces dispositifs représenteraient « un coût élevé et croissant » pour les finances publiques, alors que leurs résultats « ne sont à la mesure, ni des objectifs affiché, ni des moyens mobilisés ». Principale cible de la Cour : les contrats aidés, et en particulier l'une des mesures phares du quinquennat Hollande : les emplois d'avenir. 

    CETA

    Le Monde - Le rejet wallon du traité commercial CETA avec le Canada plonge l’Europe dans le désarroi

    Le gouvernement de la région belge a maintenu son opposition au projet d’accord de libre-échange entre l’Union européenne et Ottawa, et bloque ainsi la ratification.

    Pour l’Union européenne (UE), la négociation sur le traité de libre-échange avec le Canada (CETA) s’apparente décidément à un long chemin de croix, à l’issue toujours incertaine. Jeudi soir 20 octobre, la Wallonie, hostile au texte en son état actuel, a rejeté une nouvelle proposition de la Commission de Bruxelles, suscitant visiblement le désarroi de celle-ci, qui espérait pouvoir confirmer la signature du traité le 27 octobre.

    RTBF - Paul Magnette: "Le traité CETA est déjà en train de se découdre lui-même"

    La Wallonie ne donnera pas son accord à la signature du traité commercial avec le Canada avant la date fatidique de vendredi. Paul Magnette ne reviendra pas là-dessus. Mais le Ministre-président ne ferme pas la porte et, selon lui, quelques semaines de discussions permettraient de déboucher sur une solution définitive permettant de déboucher sur un traité où "les normes sociales très élevées profiteront à tout le monde"

    BUDGET 2017

    Le Figaro - Budget 2017 : le gouvernement ne parvient pas à discipliner sa majorité

    Le ministre des Finances Michel Sapin a fait voter, mercredi soir, à l'Assemblée, la baisse à 15% du taux de l'impôt sur les PME en 2019, comme le souhaitaient les députés. Et a essuyé un revers sur la fiscalisation des actions gratuites.

    Le gouvernement n'a-t-il plus l'autorité nécessaire pour faire respecter ses choix devant sa majorité à l'Assemblée nationale? On peut le penser à la vue des débats sur le budget 2017, mercredi soir. Le ministre des Finances Michel Sapin n'a, sur un premier sujet, pas tenté l'épreuve de force avec les députés socialistes lors de la suite de l'examen du budget 2017. Sur un second, il l'a tenté... et l'a perdu

    ECONOMIE

    La Tribune - L'investissement public, seule solution pour redresser la croissance ?

    La relance par l'investissement public est une solution trop peu explorée en France, et pourtant nécessaire pour doper la croissance, a expliqué Xavier Ragot, le président de l'observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), lors d'une matinale des travaux publics organisée par la FNTP et La Tribune.

    HOLLANDE

    L'Obs - L'appel pour une candidature de Hollande boudé par les députés PS

    La publication du livre "Un président ne devrait pas dire ça" ne passe pas chez les parlementaires, qui sont nombreux à ne plus souhaiter signer la pétition de soutien à une candidature de François Hollande. L'appel ne pourra être publié en octobre, comme prévu initialement.

    Libé - Le Président en a-t-il fait assez pour l’acier ?

    A Florange, Hollande a pérénisé le site, sans empêcher la fermeture des hauts fourneaux. L’investissement a bien été au rendez-vous, mais le nombre d’emplois a baissé.

    L’acier lorrain, boulet des présidents de la République ? Après Nicolas Sarkozy, qui s’était cassé les dents sur Gandrange, en Moselle, c’est au tour de François Hollande de se dépêtrer de ses promesses de campagne sur Florange. Pour la troisième fois depuis son élection, il est retourné, lundi, sur le site sidérurgique, propriété d’ArcelorMittal, afin de défendre son bilan dans la région. Retour sur les promesses, tenues ou non, du chef de l’Etat dans la vallée de la Fensch.

    L'Obs - Les socialistes hésitent à soutenir Hollande

    PARIS (Reuters) - Une semaine après la publication de confidences de François Hollande qui ont sidéré son camp, le désarroi s'est manifesté sans détour mardi au Parti socialiste, où l'on hésite ouvertement à soutenir le chef de l'Etat en vue des échéances de 2017.

    MONTEBOUG

    Le Figaro - A Sciences Po, Montebourg peine à se différencier de Mélenchon

    L'ancien étudiant de Sciences Po est revenu, ce mardi soir, là où il a préparé, sans succès, l'ENA dans les années 1980. Sur les bancs de l'institution parisienne, Arnaud Montebourg dit avoir connu la solitude «face à une élite parisienne, l'entre-soi avec ses codes et ses secrets», lui qui débarquait de Bourgogne. Pour ce Grand Oral, les étudiants de l'institution, réunis dans un amphithéâtre bien rempli, ont offert un accueil chaleureux au candidat à la primaire de la Belle Alliance populaire

    Le Figaro - Montebourg critique Hollande sur son livre

    Le candidat à la primaire du PS Arnaud Montebourg a critiqué ce mardi les propos du président de la République rapportés dans le livre "Un président ne devrait pas dire ça", estimant que "peut-être ne devrait-il même pas le penser". Le problème, "ce n'est pas tant" que le chef de l'Etat dise ce qu'il dit, mais plutôt d'imaginer qu'il ait "un certain nombre de pensées qui tranchent avec ce qu'on attend de l'homme qui rassemble les Français, qui cherche à traiter et solutionner de graves problèmes (...) et aussi défendre l'intérêt supérieur du pays", a expliqué M. Montebourg, invité du "Grand Oral" des étudiants de Sciences-Po

    BENOIT HAMON

    BFM TV - Hamon juge "grave" la position de Mélenchon sur l'immigration

    Le Point - Benoît Hamon ne sait pas si Hollande sera "capable" de se représenter

    L'ancien ministre de l'Éducation nationale doute que Hollande soit en mesure d'assumer le bilan de son quinquennat devant les Français le moment venu

    Un adversaire en moins à la primaire de la gauche pour Benoît Hamon ? L'ancien ministre semble douter de la présence du président de la Rébublique à la primaire. « Ce serait logique qu'il (François Hollande) rende compte de son bilan, qu'il explique pourquoi il n'a pas fait ce qu'il avait promis », a estimé Benoît Hamon, sur Europe 1 mardi. « En sera-t-il capable ? Je ne sais pas. »

    L'Express - Benoît Hamon refuse de participer à "Une ambition intime" sur M6

    L'ancien ministre et candidat à la primaire socialiste considère que "ce format ne correspond simplement pas" à sa vision de la politique.

    Pas de questions sur son papa ou sur son doudou préféré. Le candidat à la primaire socialiste Benoît Hamon a indiqué sur sa page Facebook ce lundi avoir refusé de participer à l'émission de Karine Le Marchand Une ambition intime sur M6. "Sa qualité et les téléspectateurs qui s'y intéressent ne sont pas en cause", prend soin de préciser, diplomate, l'ancien ministre de l'Education nationale.

    LIENEMANN

    LCI - Primaire de la gauche : pour Marie-Noëlle Lienemann, François Hollande ne se présentera pas... mais elle si !

    Pour Marie-Noëlle Lienemann, c'est évident, François Hollande ne sera pas candidat à la primaire de la gauche. Ce jeudi, la sénatrice PS de Paris a déclaré sur le plateau de Yves Calvi sur LCI que l'actuel président de la République devrait, selon elle, ne pas entrer dans la course et par conséquent céder son siège à l'Elysée. Car si elle est en profond désaccord avec la ligne politique entreprise par Valls et Hollande, elle estime qu'elle représente surtout un réel danger pour le pays.

    FRONDEURS

    Le Parisien - Présidentielle 2017 : l'appel du pied des frondeurs du PS aux communistes

    Les frondeurs du Parti socialiste rencontreront des dirigeants du Parti communiste français pour «rechercher des solutions de rassemblement» en vue de l'élection présidentielle.

  • Le Monde - Nouvelle nuit de mobilisation pour les policiers dans plusieurs villes de France

    De nouvelles manifestations spontanées de policiers se sont déroulées dans la nuit de mardi à mercredi dans plusieurs villes de France, au lendemain d’une première manifestation sauvage inédite sur les Champs-Elysées. Brandissant des pancartes « Solidarité avec nos collègues », plusieurs centaines de policiers se sont rassemblés dans la soirée à Evry (Essonne) où une réunion se tenait entre le directeur général de la police nationale Jean-Marc Falcone et les chefs de la brigade anticriminalité du département.