Point presse de Corinne Narassiguin - "On a la... par PartiSocialiste
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Les 4 Vérités - Jean-Marie Le Guen, chantre d'un réformisme social
Les 4 Vérités - Jean-Marie Le Guen, chantre d... par francetvinfo -
Mediapart et les Économistes Atterrés - "Eco à contre-courant": économistes, journalistes, même combat !
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Le Monde - Six moments-clés du quinquennat vus des coulisses de l’Elysée
Gérard Davet et Fabrice Lhomme, journalistes au Monde, ont réalisé soixante entretiens avec le chef d’Etat français, du 3 avril 2012 – avant son élection – au 25 juillet 2016. Chaque rencontre s’est déroulée selon un protocole strict, avec des conditions acceptées dès le départ par le président : ses conseillers ne seraient pas présents, tous les entretiens seraient enregistrés et aucun propos ne serait relu ni modifié avant publication. Le Monde a choisi six moments forts du quinquennat, appuyé à chaque fois sur un document. Un livre, Un président ne devrait pas dire ça…, est publié le 12 octobre chez Stock. -
L'actualité des socialistes du 7 au 13 octobre
A LA UNE
Le Monde - « Certains proches de Hollande sont consternés par la sortie de son livre d’entretiens »
Les réponses à vos questions sur les conséquences des confidences du président par notre journaliste qui couvre l’exécutif.
Avec la publication des bonnes feuilles, ces derniers jours, de Un président ne devrait pas dire ça, dans lequel le chef de l’Etat se laisse aller à la confidence avec les journalistes du Monde Gérard Davet et Fabrice Lhomme, François Hollande est de plus en plus isolé. Quelles sont les conséquences politiques d’un tel ouvrage ? Bastien Bonnefous a répondu aux questions des internautes.Dans «Un président ne devrait pas dire ça», deux journalistes rapportent des propos de François Hollande sur Marianne, l'islam et l'immigration. Laurent Bouvet décrypte ces déclarations qui n'ont pas tardé à faire réagir la classe politique.
.... "nous ne sommes pas dans un choc ou une guerre de civilisations, nous sommes pris dans un affrontement idéologique contre une vision identitaire, extrémiste, de l'islam, que nous soyons musulmans, d'autres religions ou athées. Et en l'absence de mobilisation politique de tous les républicains, face à cette vision identitaire de l'islam, se déploie une autre vision identitaire, celle d'une civilisation française, blanche, catholique, éternelle et immuable."
Marianne, Joseph Macé-Scaron - 12 octobre 2016, le jour où la campagne d'Hollande s'est crashée
Entre une longue interview dans la presse sans vision d'ensemble, un nouveau livre-confession catastrophique et une énième joute avec Valérie Trierweiler sur l'affaire dite des "sans-dents", ce 12 octobre - qui devait marquer une fracassante entrée en campagne - est un pitoyable fiasco pour François Hollande.
HAMON/MONTEBOUG
Le Point - Hamon et Montebourg, entre mains dans le dos et coups d'épaule
Il y a deux ans encore, ils s'affichaient côte à côte à la Fête de la rose. Les voilà aujourd'hui opposés au premier tour de la primaire de la gauche.
HAMON
Benoît Hamon, candidat à la primaire de la gauche pour la présidentielle de 2017, était, lundi 10 octobre, l'invité de franceinfo. Le député PS des Yvelines prône la légalisation du cannabis pour mettre fin à l'hyper-violence dans certains quartiers.
MONTEBOURG
Libé - Primaire : Montebourg et le rassemblement à géométrie variable
En annonçant qu'il ne fera pas campagne pour François Hollande si celui-ci devait remporter la primaire de la «Belle Alliance populaire», l'ancien ministre de l'Economie a le mérite de la clarté, moins de l'élégance ou du fair-play.
Le Républicain Lorrain - Arnaud Montebourg : « Je ne pouvais pas ne pas revenir à Florange »
De retour en Moselle, l’ex-ministre de l’Economie enfonce le clou des divergences qui l’ont opposé à l’exécutif sur le dossier Florange. Des « erreurs » qu’il souhaite voir éviter dans la reprise des chantiers de Saint-Nazaire.
L'ancien ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a assuré mardi sur franceinfo qu'il accepterait le résultat de la primaire du PS à laquelle il concourt, même si elle était remportée par François Hollande, tout en précisant qu'il ne ferait pas ensuite "le chauffeur de salle" pour le président sortant.
Le Monde - Montebourg, ministre (presque) malgré lui
On appelle cela déminer le terrain. Accusé régulièrement par ses adversaires d’avoir soutenu François Hollande, lors de la primaire de la gauche de 2011 puis au cours des deux premières années du quinquennat lorsqu’il était à Bercy, Arnaud Montebourg a décidé de mettre les choses au point dans un livre publié mercredi 12 octobre, intitulé Le retour de la France (Editions J’ai Lu, 96 p., 3 euros), dont Le Monde a pu se procurer une copie.Arnaud Montebourg passe la journée sur Toulouse. C’est sa première sortie après l’officialisation de sa candidature à la primaire du Parti Socialiste. L’ancien ministre a choisi une terre « conquise ». Arnaud Montebourg doit (encore) convaicre les électeurs toulousains. Mais il est déjà solidement implanté chez les socialistes de la ville rose.HOLLANDEDans toutes ses confidences, François Hollande n’épargne pas grand monde. Et les frondeurs du PS, qui ont ferraillé tout le quinquennat contre l’orientation économique des gouvernements Ayrault puis Valls, en prennent sérieusement pour leur grade. "Une agrégation de gens intelligents peut faire une foule idiote", persifle ainsi François Hollande à leur égard dans Un président ne devrait pas dire ça, des journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme.Extraits du livre de confidences "Un président ne devrait pas dire ça", les propos du président de la République sur les femmes voilées éclairent ses tergiversations... et sa réelle proximité idéologique avec Manuel Valls.Dans leur ouvrage «Un Président ne devrait pas dire ça ...» qui paraît ce jeudi, Gérard Davet et Fabrice Lhomme, journalistes du «Monde», révèlent que le chef de l’Etat a milité pour un changement de nom du Parti socialiste.François Hollande a rencontré, mercredi 12 octobre au soir, le premier président et le procureur général de la Cour de cassation, Bertrand Louvel et Jean-Claude Marin, après la publication de propos polémiques du chef de l’Etat sur l’institution judiciaire.A six mois du prochain scrutin présidentiel, le chef de l'Etat revient sur son quinquennat, solde ses comptes avec la gauche et ne craint pas la comparaison avec la droite.CHEVENEMENTVoici le texte validé de l'interview donnée par Jean-Pierre Chevènement à l'Hebdomadaire Le Point qui en reproduit une version contractée, jeudi 13 octobre 2016, propos recueillis par Laureline Dupont et Thomas MahlerMELENCHONC’est le genre de sondage qui devrait pousser Jean-Luc Mélenchon à participer à la primaire initiée par le PS. Selon la dernière livraison du baromètre Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio, le candidat de la France insoumise, quatrième homme de la présidentielle de 2012, entre dans le top 5 des personnalités préférées des Français. Une performance inédite pour un leader de ce qu’on appelle grossièrement la gauche de la gauche et qui se qualifie, elle, tout simplement de gauche, la vraie, celle à laquelle Macron, Valls mais aussi Hollande n’appartiendraient plus.SEGOLENE ROYALLa ministre de l'Ecologie, ancienne présidente de Poitou-Charentes, dont la gestion est actuellement examinée par la chambre régionale, fait l'objet d'un livre réquisitoire, à paraître jeudi.