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  • "Nous restons fermes par rapport à l'article 2", martèle Myriam El Khomri


    "Nous restons fermes par rapport à l'article 2... par rtl-fr

  • Observatoire des inégalités - Les inégalités de salaires hommes-femmes : état des lieux

    27 mai 2016 - Tous temps de travail confondus, les hommes gagnent 23,5 % de plus que les femmes. Près de 11 % des écarts de salaires entre les deux sexes sont inexpliqués et relèvent d’une discrimination « pure ».


    Le salaire mensuel net moyen des hommes est de 2 389 euros pour un équivalent temps plein en 2013, celui des femmes de 1 934 euros, soit un écart de 455 euros, presque un demi Smic. Les hommes perçoivent donc, en moyenne, un salaire supérieur de 23,5 % (en équivalent temps plein [1]) à celui des femmes. Ou, ce qui revient au même, les femmes touchent en moyenne 81 % du salaire des hommes (1934 divisé par 2389), ou ont un salaire inférieur de 19 % (voir plus bas notre encadré méthodologique sur la façon de mesurer l’écart).

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  • L’économiste James Galbraith : "La Grèce subit une politique d’huissiers"


    L’économiste James Galbraith : "La Grèce subit... par FranceInfo

  • Libé - Frondeur et socialiste, par Benoît Hamon Par Benoît HAMON, député socialiste et ancien ministre

    Face à un exécutif hypertrophié et un Parlement réduit au rôle de supplétif des initiatives du gouvernement, la fronde parlementaire peut rééquilibrer le jeu des pouvoirs dans la Ve République.

    Je suis socialiste. Député et ancien ministre. Je n’ai jamais revendiqué ni aimé l’étiquette médiatique de «frondeur». Mais aujourd’hui, au regard du sens qu’elle prend dans la Ve République, je l’assume.

    Tout a été dit sur le déséquilibre des pouvoirs dans la Ve République, un exécutif hypertrophié et un Parlement réduit au rôle de supplétif des initiatives gouvernementales. L’article 49.3 illustre cette subordination du Parlement et de sa majorité au gouvernement et à son chef. «Soumettez-vous ou démettez-moi», voilà en substance l’alternative à laquelle les parlementaires socialistes étaient confrontés jeudi 12 mai lorsque le Premier ministre a engagé la responsabilité de son gouvernement à propos de la loi travail. En France, on a ainsi pris l’habitude que l’exécutif indique au législatif jusqu’où exercer sa souveraineté, à coups de votes réservés, de seconde délibération, ou d’article 49.3. Le quinquennat de François Hollande n’échappe pas à cet usage.

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  • Le Cercle des économistes - L’économie est-elle entrée dans un cycle sans croissance ?

    Finie la croissance ? Oubliées les Trente Glorieuses ? Destruction de valeurs sociales, humaines, environnementales ? Stagnation séculaire ? Quelle société sans investissement ni création de valeurs, mais quelles valeurs ? Le monde peut-il réellement vivre sans croissance ?

    Introduction

    C’est un fait : depuis le début des années 1980, la richesse produite par les pays industrialisés progresse à un rythme de moins en moins soutenu. Est-on pour autant entré dans un monde sans croissance, ou faut-il abandonner le totem P.I.B. sans cesse invoqué pour expliquer et justifier le bien être humain et le développement de nos sociétés ?

    Ces questions, un certain nombre d’économistes et d’associations se les posent. Les acteurs concernés poussent même très loin la conceptualisation de ce monde qui, à leurs yeux, serait idéal. Mais cet idéal est-il atteignable, est-il au moins souhaitable ?

    Quelles que soient leurs écoles, les économistes s’interrogent sur les raisons de la croissance anémique dans les pays occidentaux. A l’aune de cette réflexion, il est bon de poser le débat et de chercher les clefs pour en comprendre les tenants et les aboutissants.

    Tel est l’objectif de ce nouveau Décryptage éco proposé par le Cercle des économistes.

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