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  • Boualem Sansal : "Il faut tout mettre sur la table : le terrorisme, l'islamisme mais aussi l'islam"


    Boualem Sansal : "Il faut tout mettre sur la... par FranceInfo

  • Slate - Valls ne veut pas que le Conseil constitutionnel mette son nez dans l’état d’urgence

    Le Premier ministre souhaite donner à la France tous les moyens de poursuivre ceux qui représentent un danger. Quitte à passer une loi constitutionnellement fragile.

    Le Premier ministre Manuel Valls ne veut pas que le Conseil constitutionnel puisse examiner la révision de la loi sur l’état d’urgence, débattue au Sénat vendredi 20 novembre. Intervenant dans l’hémicycle de la Haute Assemblée, le Premier ministre a déclaré:

    «Je suis extrêmement dubitatif sur l’idée de saisir le Conseil constitutionnel. Je souhaite que nous allions vite sur la mise en œuvre des dispositifs [...] que vous allez voter, mais il y a toujours un risque à saisir le Conseil constitutionnel. Si le Conseil répondait que la loi révisée est inconstitutionnelle sur un certain nombre de points, sur un certain nombre de garanties apportées, cela peut faire tomber 786 perquisitions et 150 assignations à résidence déjà faites. Il y a y compris des mesures qui ont été votées hier à l’Assemblée nationale –je pense à celle sur le bracelet électronique, je suis dans la transparence– qui ont une fragilité constitutionnelle. [...] Moi je souhaite que nous allions vite car je souhaite donner [...] aux forces de l’ordre et à la justice tous les moyens de poursuivre ceux qui représentent un danger pour la Nation, la République et les Français.»

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  • Slate - Attentats du 13 novembre: il n'y a pas eu de «faille» de sécurité, il y a eu «un naufrage historique»

    Et ce naufrage souligne l'échec de la loi sur le renseignement.

    «Y a-t-il eu des failles dans le renseignement français? interrogeait le Huffington Post le 17 novembre, quatre jours après les attentats du 13 novembre à Paris, qui ont fait 132 morts. Des interrogations légitimes au regard du parcours des assaillants, connus des services de renseignement et dont l’un d’entre eux, Samy Animour, avait même été mis en examen pour “association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste”. Une procédure qui n’avait pas empêché l’intéressé de rompre son contrôle judiciaire pour se rendre Syrie 

    Le lendemain, 18 novembre, on suspectait la présence d’Abdelhamid Abaaoud, coordinateur présumé des attentats, sur le territoire français, alors qu’il était censé être en Syrie. David Thomson, journaliste spécialiste du djihad en France et auteur des Djihadistes français déclarait alors que, si l’information de sa présence devait se confirmer, on serait alors «bien au-delà de l’étonnement et de la faille sécuritaire», ajoutant: 

    «Il faut bien comprendre qui est cet homme. C’est le visage le plus connu du djihad francophone. Son visage s’affichait l’année dernière pendant plusieurs jours en permanence sur toutes les chaînes d’info en France. C’est quelqu’un qui en 2013 et 2014, sur sa propre page Facebook, sous sa vraie identité, postait des vidéos de lui sur le front syrien, lance-roquettes à la main, pour appeler les gens à le rejoindre.»

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