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  • Après la crise grecque, Hollande veut "un gouvernement économique européen"


    Après la crise grecque, Hollande veut "un... par francetvinfo

  • Regards - Grèce : au matin du coup d’État

    Le courage politique d’Alexis Tsipras n’aura pas suffi à faire éviter à son pays un accord humiliant qui inflige un camouflet au "non" de ses électeurs. Quelles chances cette issue laisse-t-elle aux gauches européennes de construire une alternative ?

    Au petit matin, le premier ministre Grec a dû signer un accord très défavorable pour son pays. Comme le dit lui-même Alexis Tsipras, c’était avec un fusil sur la tempe. Nous ne ferons pas ici la liste de ces dispositions, au choix, récessives ou humiliantes. Cet accord a été imposé moins de huit jours après un "non" clair et net des Grecs à cette politique d’austérité et de domination. Il fallait les punir. Il devait être clair pour tous les peuples européens qu’il n’y a pas d’espace pour la remise en cause des politiques libérales.

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  • Libé - Crise grecque : un armistice qui ne résout rien Jean-Michel NAULOT Ancien banquier

    Les dirigeants européens proposent aux Grecs un armistice sur des bases extrêmement dures : mise sous tutelle, accentuation de l’austérité, nouvel accroissement de la dette. L’inverse de ce que souhaitaient les Grecs. L’euro était censé offrir aux Européens un nouvel horizon de croissance et de solidarité. Il offre la perspective inverse. Plus les années passent, plus les divisions s’accentuent.

    Le projet d’accord qui est proposé aux Grecs est marqué du sceau de la conception allemande de la gouvernance en zone euro. Cette crise est une nouvelle étape dans l’histoire d’une zone monétaire qui ne peut fonctionner efficacement entre des Etats aussi différents les uns des autres. C’est une évidence économique.

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