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  • Harlem Désir: ces écoutes sont «inadmissibles, inamicales, inutiles»


    Harlem Désir: ces écoutes sont «inadmissibles... par rfi

  • Europe 1 : Tensions entre François Hollande et Manuel Valls


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  • Jean-Christophe Cambadélis : "Au PS, nous sommes unis derrière le gouvernement mais ça n'empêche pas quelques critiques"


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  • Point presse de Corinne Narassiguin - 30 juin 2015


    Point presse de Corinne Narassiguin - 30 juin... par PartiSocialiste

  • PS : Grèce : Résolution du Bureau national

    (Adoptée le lundi 29 juin par 44 voix « pour » et 12 abstentions)

    Le Parti socialiste déplore le niveau d’incompréhension et de crispation atteint entre la Grèce et les institutions. Il soutient la déclaration du Président de la République appelant à la négociation jusqu'au bout.
    Il réitère clairement que la place de la Grèce est dans l’Europe, et dans la zone euro.
    Un accord doit donc être trouvé. Le Parti socialiste propose de partir d'une renégociation de la dette grecque soutenable quelle que soit l'aide engagée.
    Les conditionnalités demandées par les institutions créditrices ne peuvent pas réduire la croissance de la Grèce. Elles doivent s’orienter davantage vers des réformes structurelles institutionnelles. Le parti au pouvoir s’y était d’ailleurs engagé lors de sa campagne, par une réforme de son système fiscal par exemple. En outre les populations les plus touchées par la crise doivent être protégées.
    En second lieu, l’Europe doit permettre à la Grèce de se développer et retrouver les moyens de se financer pour investir. Pour ce faire, c’est une solidarité avisée qui doit voir le jour, une solidarité dont l’Europe toute entière sera la bénéficiaire.
    Le Parti socialiste réaffirme le droit du peuple grec de choisir son destin par un référendum s'il le faut.
    Le Parti socialiste appelle donc chacun à retrouver le sens des priorités et à faire les concessions nécessaires pour qu’un compromis, solide et solidaire, soit atteint.

  • Paul Alliès - Grèce : la mise en échec du théorème de Prodi

     

    Le recours au référendum décidé par le gouvernement grec marque la fin d’un cycle de dépolitisation de l’Union Européenne que le projet de « Traité Constitutionnel » avait voulu rendre définitif, nonobstant son rejet populaire.

    Je cède pour une fois au vice de l’auto-citation :

    « L’Europe réalise la vieille utopie des libéraux les plus radicaux : soustraire la décision économique au pouvoir du législateur ; placer l’économie hors de portée de la responsabilité politique ; diviser le pouvoir en organes fortement indépendants les uns des autres ; rendre difficile et aléatoire le contrôle démocratique des institutions issues du suffrage universel. Sera ainsi achevé le système que saluait déjà Romano Prodi lors de son investiture en décembre 1999 devant le Parlement de Strasbourg : « L’action menée au niveau européen permet d’éviter les pressions directes des cycles électoraux nationaux ». Cet aveu ne fait qu’exprimer la défiance si répandue parmi les « experts » vis-à-vis des gouvernements toujours virtuellement démagogues alors que les comités, agences et règles de l’Union seraient l’expression de la raison et du bien public européen. Y déroger ou les critiquer serait toujours préférer le chaos aux avancées de la construction communautaire. Le plus effarant est qu’il se trouve une « gauche modérée » dont Blair est la figure de proue qui accepte silencieusement cette dépolitisation de l’économie alors que le problème de l’heure est de mettre un terme à la liberté absolue du capital.

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  • Libé - Deux Nobel d’économie au secours de Tsípras

    Contre la majorité des économistes classiques, Joseph Stiglitz et Paul Krugman, chacun de leur côté, prennent la défense du Premier ministre grec qui a choisi de procéder à un référendum.

    Ils voteraient «non». Joseph Stiglitz, co-prix Nobel 2001, et Paul Krugman, prix Nobel 2008, sortent une nouvelle fois du bois pour défendre, contre la majorité des économistes classiques, le choix iconoclaste du Premier ministre grec de procéder à un référendum. Dans un article intitulé «L’attaque de l’Europe contre la démocratie grecque» et publié sur le site Project syndicate, le premier se fait l’avocat du gouvernement grec dont il défend ardemment les positions.

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