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  • Moscovici : "L'intérêt de la Grande-Bretagne est d'être dans l'UE"


    Moscovici : "L'intérêt de la Grande-Bretagne... par Europe1fr

  • Moscovici : "Le gouvernement grec doit pouvoir réformer"


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  • Moscovici : "La France n'est pas un mauvais élève"


    Moscovici : "La France n'est pas un mauvais élève" par Europe1fr

  • Moscovici : "Nous n'allons pas demander d'effort supplémentaire à la France"


    Moscovici : "Nous n'allons pas demander d... par Europe1fr

  • Alternatives Economiques, Jean-Marie Harribey - Supprimer 5 jours fériés catholiques et les remplacer par une sixième semaine de congés payés

    La complainte patronale se ravive chaque année au début du mois de mai. Ce mois où les jours fériés sont presque aussi nombreux que les jours pluvieux. Pluvieux pour l’économie. Le Medef, dont les calculettes sont moins performantes que les bouliers d’autrefois, prétend que les deux jours fériés qu’il veut supprimer, rapporteraient 1 milliard de plus au PIB français, soit 100 000 emplois, dixit Thibault Lanxade, vice-président du Medef.

    Chacun voit qu’un tel calcul n’a aucun sens, car il n’inclut pas l’activité qui est générée par les congés supplémentaires, et bien malin est celui qui calculerait le solde des activités et des emplois « perdus » et « gagnés ». D’autant que, si la proposition du Medef était adoptée, on peut supposer que les jours travaillés ne seraient pas rémunérés en plus, donc sans aucun intérêt pour la consommation, c’est-à-dire pour les affaires des entreprises. D’ailleurs, l’INSEE et l’OFCE estiment l’impact des jours fériés bien moindre : environ 0,06 % de PIB pour un jour, soit environ 1,250 milliard d’euros.

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  • La Vie des Idées - L’essence nourricière du monde

    Nous devons avoir l’ambition, explique C. Pelluchon, de repenser les relations que nous entretenons avec la nature, à travers un pacte qui nous lie aux non-humains. Ce n’est que de cette manière que nous parviendrons à donner à l’écologie un fondement anthropologique.

    Recensé : Corine Pelluchon. Les nourritures. Philosophie du corps politique, Seuil, Collection L’ordre philosophique, 2015, 389 p., 25 €.

    Peut-on articuler dans un même mouvement de pensée l’enquête menée par les éthiques de l’environnement qui cherchent à conférer un statut aux entités non humaines, le souci qu’ont nos démocraties d’accompagner et de réguler le développement des biotechnologies sans dériver en expertocratie, et des enjeux d’existence ? L’ambition de cet ouvrage synthétique, remarquable et nécessaire, est de répondre à ces questions. Il réinstalle avec souffle les questions d’écologie (de l’agriculture à la cause animale, de la métropolisation à l’alimentation) dans une vaste réflexion pour un projet de nouveau pacte social. Corine Pelluchon se propose ici de tirer toutes les conséquences éthiques et politiques de cette expérience grâce à laquelle nous découvrons que nos existences ne sauraient être séparées de ce dont nous dépendons et développons une attention à l’égard de ceux avec lesquels nous vivons, humains et non humains.

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  • Euractiv - Le salaire minimum s'avère impuissant face à un niveau de pauvreté record en Allemagne

    Douze millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté outre-Rhin, un record selon l'étude d'une association allemande d’aide sociale. Qui estime que l'introduction du salaire minimum ne résoudra rien. Un article d'EurActiv Allemagne.  

    La pauvreté a atteint un niveau jamais atteint en Allemagne, selon un rapport réalisé par l'organisation d'aide sociale Paritätischer Wohlfahrtsverband. Le rapport indique qu'environ 12,5 millions de personnes étaient touchées par la pauvreté en 2013, soit une augmentation de 15 % à 15,5 % comparé à l'année précédente.

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  • Le Comptoir - Vous avez dit « gauche réac » ?

    La gauche n’a jamais semblé aussi divisée qu’aujourd’hui. Si certains se revendiquent clairement progressistes, d’autres, plus réticents, se questionnent davantage et s’attirent les foudres des premiers. Les insultes fusent, les coups bas pleuvent. Parmi ces attaques, le terme de « réactionnaire » revient quasi automatiquement pour qualifier quiconque ne s’inscrit pas dans ce mouvement en avant. Alors, existe-t-elle réellement, cette « gauche réac », ou n’est-elle qu’un fantasme ?

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  • Libé - Les classes moyennes rêvent «d’un coup d’Etat citoyen»

    AU RAPPORT

    Une agence du groupe Publicis a interrogé 190 Français des classes moyennes. «Libération» a eu accès à cette étude qui met en lumière trois «dissonances» majeures.

     

    Mettre des mots sur les maux des classes moyennes. «Leurs mots sur leurs opinions, sur leurs sentiments», précisent Véronique Langlois et Xavier Charpentier. A la tête de FreeThinking, «le laboratoire de tendances et d’études qualicollaboratives» du groupe Publicis, ils s’apprêtent à publier «Dissonances. Quand les classes moyennes parlent de la France d’après le 11 janvier, deux ans avant 2017», une étude qu’ils ont menée durant deux semaines pendant la campagne des départementales, auprès de 190 Français des classes moyennes âgés de 18 à 65 ans (1) – et dont Libération a obtenu la primeur (lire le document ci-dessous). S’appuyant sur les 1 220 contributions récoltées en ligne, Véronique Langlois souligne que s’en dégage «une vision âpre et sans concession de la réalité». Et une grande frustration après un scrutin départemental où les électeurs ont jugé leur choix contraint entre «contenir» le FN ou «punir» le gouvernement.

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