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  • OFCE - Gaz de schiste : redressement d’un mirage par Aurélien Saussay

    Un rapport mis en ligne le 7 avril par le Le Figaro évalue les gains que l’on pourrait attendre de l’exploitation du gaz de schiste en France : ce document y voit une chance de relance pour l’économie française, ainsi qu’une opportunité de réduire la facture énergétique de la France en substituant une production domestique à nos importations gazières. Les impacts macroéconomiques estimés seraient très importants : dans le scénario « probable », plus de 200 000 emplois seraient ainsi créés, pour 1,7 point de PIB additionnel en moyenne sur une période de 30 ans.

    La magnitude de ces chiffres découle directement des hypothèses retenues, en particulier géologiques. Le coût de production et les volumes qui peuvent être extraits d’un gisement de gaz de schiste dépendent de ses caractéristiques physiques (profondeur, perméabilité et ductilité de la roche, etc.). Or, sans procéder à un forage par fracturation expérimental, il est très difficile d’estimer à l’avance l’ensemble de ces paramètres, et donc le coût de production final.

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  • Observatoire des sondages - Odoxa : un nouvel OpinionWay

    Fondé en août 2014 par d’anciens dirigeants de BVA, Odoxa entre sur le marché concurrentiel des sondages. Segment low cost, le nouveau sondeur enchaîne les enquêtes biaisées. De quoi susciter la jalousie de l’actuel détenteur du titre, très officieux il est vrai.

    Certes, tout le monde ne dispose pas du parrainage d’une chaine de télé et d’un quotidien (I>télé et Le Parisien). Les efforts entrepris par le président d’Odoxa (Gaël Sliman) pour "élargir encore la présence médiatique de l’Institut" (à l’époque BVA, cf. A quoi servent les doxosophes ?) ne se relâchent pas. On retrouve donc sans surprise les mêmes commanditaires de trois "enquêtes" publiées à la fin de la semaine dernière : l’une encourageant le gouvernement à accentuer sa politique de droite (Le Parisien, I>télé, 3 avril 2015), l’autre prévenant implicitement Nicolas Sarkozy que son seul adversaire à droite n’est pas Marine Le Pen mais Alain Juppé (I>télé, 3 avril 2015), et la dernière enfin cherchant à dissuader l’équipe au pouvoir d’intégrer des ministres écologistes (Le Parisien 5 avril 2015).

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  • ISSP - Programme international d’enquêtes sociales : Identité nationale 2013

    La dernière enquête ISSP sur l’identité nationale s’est déroulée de mars à juin 2013. Les quelques 2000 réponses ont été recueillies auprès d’un échantillon aléatoire auto-administré par voie postale, après incitation téléphonique à répondre. Les tout premiers résultats pour la France sont disponibles. Quelques résultats saillants sont présentés et commentés ci-dessous. On peut aussi se référer aux résultats complets (cliquer ci-dessus sur « résultats détaillés »).

    Le questionnaire couvre plusieurs thématiques :

    Quel est le degré d’attachement des personnes interrogées à leur pays ? Quels sont aussi leurs jugements sur les étrangers ? Comment perçoivent-ils la mondialisation ? Comment considèrent-ils l’Union européenne ?

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  • Mediapart - Pour survivre, le Parti Socialiste doit se dissocier de la politique gouvernementale 07 avril 2015 | Par David Nakache

    En 2012, nous soulevions un espoir inespéré à travers le pays, nous mettions fin au sarkozysme présidentiel et nous détenions tous les pouvoirs. En trois ans, qu'en avons nous fait ?

    Alors que le discours de notre candidat à la présidentielle était en phase avec les aspirations des électeurs, des soixante engagements au discours du Bourget, la politique menée une fois au pouvoir a décontenancé, puis déçu, puis suscité une sourde colère face à un sentiment profond d'inéquité.

    De défaites électorales en défaites électorales, le Parti Socialiste pèse moins qu'avant sur les politiques publiques mises en œuvre au niveau européen, municipal et départemental. C'est autant de leviers permettant de changer la vie quotidienne des français qui nous échappent. Pire, nous remettons les clefs du pouvoir tantôt à une droite devenue trop souvent extrême,  tantôt à l'extrême droite elle-même. Or, en fin d'année, auront lieu les élections régionales.

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  • Le Monde - Stiglitz : "Il faut en finir avec l'austérité"


    Stiglitz : "Il faut en finir avec l'austérité" par lemondefr

  • L'actualité des socialistes du 6 au 12 avril (mise à jour)

    A la une

    Libé - Congrès du PS : quatre motions en lice

    LE RÉCIT DE LA JOURNÉE DE SAMEDI

    Les socialistes se sont réunis ce samedi pour rédiger leurs textes d'orientation en vue du congrès de Poitiers, au mois de juin.

    11 et 12 avril

    Le Monde - Congrès du PS : pourquoi le choc des motions n’aura pas lieu

    Les congrès du PS produisent rarement des instants de sublimation de la pensée socialiste. Le 77e du nom, qui se déroulera à Poitiers du 5 au 7 juin, ne devrait pas échapper à la règle. L’impression qui se dégage à l’issue de la phase de dépôt des motions est paradoxale : alors que la gauche est en proie à une crise profonde après trois ans d’exercice du pouvoir, les éléments d’un congrès de réflexion sur l’identité et l’idéologie du PS ne sont pas réunis. Pour la simple et bonne raison que les différents acteurs, soit n’y ont pas intérêt, soit n’en ont pas les moyens.
     
    Le JDD - Au moins quatre motions en vue du congrès socialiste

    Après l'accord trouvé vendredi entre Martine Aubry et Jean-Christophe Cambadélis sur un texte commun, le conseil national du Parti socialiste va entériner samedi après-midi au moins quatre motions concurrentes pour le congrès du parti à Poitiers en juin.

    Le Parisien - Congrès du PS : la motion de Cambadélis ralliée par la gauche et la droite du parti

    Jean-Christophe Cambadélis peut se montrer confiant pour le prochain congrès du PS. Le premier secrétaire du parti a su jouer les équilibristes avec sa motion en obtenant à la fois le soutien de l'aile droite et celui de Martine Aubry.

    Libé - Congrès PS: et si la motion Cambadélis était vraiment aubryste?

    Selon une version datée de vendredi soir et consultée par Libération, le texte de «rassemblement» du premier secrétaire demandait des «contreparties» au CICE et une réallocation des 15 milliards restant du pacte de responsabilité.

    Libé - Aubry : pourquoi elle choisit «Camba»

    Pour préserver ses proches et ne pas s'isoler, la maire de Lille n'a eu d'autres choix que de rallier la majorité du Parti socialiste, menée par Jean-Christophe Cambadélis, avant le congrès de Poitiers, début juin.

    Libé - Des familles déchirées entre les différentes motions

    C’est un phénomène politique situé entre la dérive des continents et l’érosion des sentiments. A chaque congrès du PS, on assiste à une migration des «éléphants» d’un courant interne à un autre. Depuis la primaire socialiste de 2011, certains ont beaucoup godillé avant de se trouver un port d’attache. Avec une motion majoritaire regroupant l’intégralité du gouvernement Ayrault - y compris les futurs frondeurs Arnaud Montebourg et Benoît Hamon - le congrès de Toulouse, en 2012, avait donné l’illusion d’une grande famille, si ce n’est heureuse, au moins réunie face à une aile gauche qui avait, mécaniquement, moins bien tiré son épingle du jeu. Pour le congrès qui se tiendra du 5 au 7 juin à Poitiers, une nouvelle physionomie a vu le jour.

    Le Monde - Compte pénibilité : Rebsamen sème le trouble

    Est-ce un malentendu ? Ou une « boulette », selon la formule d’un syndicaliste ? Le ministre du travail François Rebsamen a semé le trouble, jeudi 9 avril, en tenant des propos perçus comme un abandon partiel du compte pénibilité. Une intervention faite devant quelque 600 adhérents de la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb) réunis en assemblée générale à Paris.
     
     
    Martine Aubry aura fait du Martine Aubry : jusqu’à la dernière minute, la maire de Lille a fait durer le suspense sur ses intentions concernant le congrès PS prévu en juin à Poitiers.

    Le Monde - Martine Aubry rallie la motion Cambadélis pour le congrès de juin

    Martine Aubry a fini par rompre le suspense. La maire de Lille a annoncé vendredi 10 avril, lors d’une conférence de presse, qu’elle se ralliait à la motion de l’actuelle majorité, représentée par Jean-Christophe Cambadélis. Le premier secrétaire du PS peut se prévaloir du soutien de Manuel Valls et de partisans de François Hollande.
     
     
    Martine Aubry va, sauf surprise, rejoindre la motion de Jean-Christophe Cambadélis en vue du congrès. L’aile gauche part unie. Pour Luc Carvounas, un proche de Manuel Valls, «ce congrès doit être la première marche vers la réélection de François Hollande en 2017».
     

    Après des semaines de tractations, la maire de Lille a annoncé officiellement qu'elle ralliait la motion majoritaire dite de «rassemblement», portée par Jean-Christophe Cambadélis.

    L'Obs - Congrès PS : Aubry se rallie à la motion du premier secrétaire Cambadélis

    "Je préfère être dedans pour me battre à l'intérieur", explique la maire de Lille. Elle assure signer "une motion commune que nous avons conçue ensemble".

    Le JDD - Congrès du PS : Aubry se rallie à Cambadélis

    Après avoir laissé planer le doute sur ses intentions, Martine Aubry a annoncé qu'elle se ralliait à la motion majoritaire portée par le premier secrétaire du PS? Jean-Christophe Cambadélis, en vu du congrès de Tours.

    Le député frondeur est le premier signataire de la motion qui réunit l'aile gauche du PS. Il détaille au Monde sa stratégie et déclare vouloir instaurer un débat de politique économique.

    Le Parisien - Congrès du PS : Martine Aubry pourrait soutenir la motion de Cambadélis

    Et si finalement Martine Aubry jouait la carte du rassemblement ? Ce vendredi à 19h30, la maire PS de Lille convoque la presse pour dévoiler ses intentions en vue du congrès du PS, à Poitiers du 5 au 7 juin. Une rencontre programmée quelques heures avant le dépôt des motions -les orientations programmatiques-, fixée à vendredi minuit.

    Le Figaro - Didier Guillaume juge «grave» que des frondeurs dirigent une motion

    Chaque semaine, l'émission Parlement Hebdo, sur les chaînes parlementaires Public Sénat et LCP, en partenariat avec Le Scan, fait intervenir un invité politique sur l'actualité de la semaine. Aujourd'hui, le président du groupe socialiste au Sénat Didier Guillaume.

    Libé, le 6 avril - Christian Paul «Le PS doit aller vers l’autonomie loyale»

    Interview . Pour le député «frondeur» Christian Paul, il faut que la gauche se réforme et s’unisse.

    Actualisation mardi 8 avril à 12 h 30. Ce sera donc lui le challenger. Christian Paul, 55 ans, élu de la Nièvre, sera la premier signataire de la motion rassemblant les sensisibilités les plus à gauche du PS. Cet ancien secrétaire d'Etat à l'Outre-Mer sous Jospin (2000-2002) et qui a pris, après avoir été proche d'Arnaud Montebourg puis de Martine Aubry, la tête de la «fronde» parlementaire et du collectif «Vive la gauche», devrait donc être opposé, le 28 mai, au premier secrétaire sortant, Jean-Christophe Cambadélis pour diriger le PS.

    Marianne - Christian Paul : la surprise du chef

    C'est finalement Christian Paul, député de la Nièvre et frondeur de la première heure, qui portera haut les couleurs de la contestation de la politique gouvernementale lors du congrès de Poitiers prévu en juin. Un choix pas anodin qui répond à un triple impératif : éviter la guerre des chefs de l'aile gauche du PS, attirer les aubrystes sans avoir à attendre le feu vert (qui ne venait pas) de la Dame de Lille et compliquer un peu plus la tâche d'un Jean-Christophe Cambadélis qui se voyait, lui, déjà, en grand rassembleur des amis de Martine Aubry.

    10 avril
     
     
    HABEMUS CHRISTIANUS PAULUS - Cela n'a probablement rien à voir avec un quelconque caractère divin, mais Christian Paul, frondeur de son état, sera le candidat d'une aile gauche socialiste unie au congrès du PS, à Poitiers début juin. Proche de Martine Aubry, le député PS de la Nièvre a donc vocation à remplacer Jean-Christophe Cambadélis au poste de premier secrétaire si son texte (qui regroupe les hamonistes d'Un monde d'avance, les membres du courant d'Emmanuel Maurel, Maintenant la gauche, et les frondeurs de Vive la gauche) obtient les faveurs des militants.
     

    C’est l’un des effets collatéraux des tensions qui traversent la majorité. Alors qu’approche le congrès de Poitiers, du 5 au 7 juin, l’aile droite du PS, longtemps aphone, se réveille. Le « pôle des réformateurs », incarné par Jean-Marie Le Guen, le secrétaire d’Etat aux relations avec le Parlement, et Gérard Collomb, le maire de Lyon, tente – difficilement – de contester le monopole du débat politique à la gauche du parti et à Martine Aubry. Vendredi 3 avril, ces derniers ont lancé par courrier un avertissement à Jean-Christophe Cambadélis pour indiquer que, si trop de concessions étaient faites à leurs adversaires, ils présenteraient une motion de leur côté. Un ultimatum a priori sans conséquences.
     
     
    INVITÉ RTL - Le premier secrétaire du Parti socialiste ne voit pas d'inconvénient à ce que la maire de Lille fasse planer le doute sur ses intentions en vue du congrès du PS.

    Lyon Capitale - Selon Gérard Collomb, “la gauche révolue” ne marche plus

    “Regardons le monde d’aujourd’hui, il faut inventer un nouveau modèle d’économie ouverte”, a déclaré le sénateur-maire de Lyon au micro de Pascal Pogam (Les Échos) mercredi matin. Pour lui, “le PS doit changer s’il veut s’adapter au monde contemporain”. Gérard Collomb s’est montré favorable aux mesures pour relancer l’investissement présentées mercredi 8 avril par le Premier ministre.

    Libé - Investissements : les trois non-dits de Manuel Valls

    Il est là pour «répondre aux colères, aux angoisses, aux attentes. Aux espoirs aussi de nos concitoyens» et surtout pas pour parler de ce qui fâche. Ou alors à demi-mot, avec sous-titrage indispensable. Mercredi, Manuel Valls a présenté un ensemble de mesures pour relancer l’investissement, privé et public. Au total, 2,5 milliards d’euros sur cinq ans, assure le Premier ministre, qui se fend d’une longue allocution technique, difficilement compréhensible pour le commun des mortels – ces Français qui peinent toujours à voir le bien-fondé de la politique de la gauche depuis trois ans. Libération dissèque trois des plus belles ellipses gouvernementales du jour.

    Le JDD - Congrès PS : les frondeurs unis derrière Christian Paul pour défier Cambadélis

    Hamon, Maurel, les amis de Montebourg et une poignée d'aubrystes ont choisi le député Christian Paul comme candidat au poste de premier secrétaire. En juin prochain, ce frondeur défiera Jean-Christophe Cambadélis pour le poste de premier secrétaire 

    Marianne - Martine Aubry : une dernière dérobade pour la route ?

    Bis repetita. Martine Aubry a décidé une fois encore de laisser planer le doute sur sa position sur le congrès de Poitiers. Une véritable manie chez la Dame de Lille. Elle qui moquait pendant la primaire François Hollande et son incapacité à trancher en disant "Quand c’est flou, c’est qu’il y a un loup" a une véritable meute à son actif…

    9 avril

    Boursorama - Valls dit mener une politique "de gauche"

    Manuel Valls a assuré mercredi prendre des mesures économiques "de gauche" à même de satisfaire le Parti socialiste tout en assurant s'adresser en priorité aux Français et non à une "formation politique".

    Le Monde - L’investissement, nouveau totem de l’exécutif

    Ce n’est pas une inflexion, ni même une révision et encore moins une révolution. Plutôt, en parfaite conformité avec la traditionnelle méthode hollandaise, une très légère correction. La réponse à la troisième gifle électorale reçue, en un an, par l’exécutif socialiste ne sera donc pas un remaniement – lequel n’interviendrait « pas immédiatement » et pourrait même attendre l’été, selon l’un de ses hauts responsables – ni un repositionnement.

    Challenges - Les "aubrystes" arbitres du congrès PS

    Avant de rejoindre une éventuelle majorité, les proches de Martine Aubry souhaitent que le gouvernement infléchisse grandement sa politique économique et sociale.

    Le Figaro - Congrès : l'aile gauche du PS choisit Christian Paul comme leader

    Le député de la Nièvre sera le premier signataire de la motion que va déposer l'aile gauche du parti pour le congrès de juin.... «Nous n'avons pas fonctionné dans une logique d'élimination», jure pourtant au Scan Laurent Baumel, député d'Indre-et-Loire et frondeur de la première heure. «Il ne s'est pas agi d'écarter telle ou telle personne, mais bien d'installer une véritable polyphonie», détaille-t-il.

    BFMTV - Congrès de Poitiers: les "frondeurs" ont choisi Christian Paul comme chef

    En vue du Congrès de Poitiers du Parti socialiste, l'aile gauche se prépare à ferrailler. A défaut d'être menés par Martine Aubry, ceux qu'on appelle les "frondeurs" seront emmenés par le député Christian Paul, déjà à la pointe de la contestation parlementaire au sein du PS

    Le Point - Congrès du PS: Karine Berger première signataire d'une motion

    La députée (PS) Karine Berger est la première signataire d'une motion que déposera d'ici samedi sa sensibilité, avec l'ex-ministre Dominique Bertinotti, le député Arnaud Leroy et de jeunes élus, a-t-on appris auprès d'un responsable de cette motion.

    "C'est décidé, on dépose une motion" pour le Congrès du PS (5 au 7 juin), a déclaré à l'AFP Nicolas Brien, responsable du réseau "Inventons demain" (jeunes élus de province) à l'issue d'une réunion mardi soir. "Karine Berger est la première signataire", a-t-il ajouté.

    Europe 1 - PS : pourquoi Aubry laisse planer le suspense

    La maire de Lille ne devrait pas défier l'exécutif en présentant une motion au congrès du Parti socialiste, selon nos informations.

    L'INFO. Les ténors du Parti socialiste ont jusqu'à samedi pour déposer une motion en vue du congrès prévu en juin prochain. Objectif : se choisir un nouveau premier secrétaire. Et une question hante l'exécutif depuis une semaine : Martine Aubry va-t-elle apposer sa signature en bas d'un texte et engager ainsi un bras de fer avec François Hollande et Manuel Valls ? Selon les informations d'Europe 1, c'est non.

    8 avril

    Le Monde - Le gouvernement esquive un nouveau débat risqué

    Le ministre des finances, Michel Sapin, évoque un simple problème « d’organisation ». C’est en réalité bien un problème politique que veut s’éviter l’exécutif et qui a été mis au jour par l’UMP, mardi 7 avril. Tous les ans, depuis 2011, le gouvernement transmet aux instances européennes son programme budgétaire, autrement appelé « programme de stabilité », à la fin du mois d’avril. Tous les pays de la zone euro se plient à cette règle et le gouvernement français a, lui, pour habitude – rien ne l’y oblige – de soumettre ses prévisions à l’Assemblée au moins à travers un débat, au plus un vote, avant de les présenter à Bruxelles. Il l’a fait en 2013 et en 2014 mais, cette année, il ne le fera pas.
     

    Comme souvent dans son parcours politique, la maire de Lille va attendre le dernier moment avant d'annoncer sa stratégie en vue du prochain congrès du PS.

    Libé - Congrès PS : Aubry repousse l'heure du choix

    La maire de Lille devait arrêter sa stratégie pour le congrès PS de Poitiers ce mardi soir. Elle a annulé la réunion de ses amis à l'Assemblée et attends des signes du gouvernement.

    Les 4 Vérités-Benoît Hamon veut "infléchir la politique du gouvernement"

    Le député socialiste Benoît Hamon était l'invité de Roland Sicard dans les 4 Vérités ce mardi 7 avril. Il a annoncé le dépôt d'une motion pour "infléchir la politique du gouvernement"

    Le Monde - Le Parti socialiste « bouleversé » par la mort de Jean Germain, l'ex-maire de Tours

    L'annonce de la mort, mardi 7 avril, du sénateur d'Indre-et-Loire et ancien maire de Tours Jean Germain a provoqué la tristesse de nombreux élus du Parti socialiste (PS), dont il était membre. Plusieurs ont rendu hommage à un « homme honnête » et à un « grand élu de la République ».
     

    L’effet Charlie engrangé en janvier par le couple exécutif s’envole à vitesse grand V. Selon notre dernier tableau de bord politique Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio, le président de la République chute de 4 points (25%) et Manuel Valls de 6 (45%).

    Le Monde - Gaz de schiste : « Ce n’est pas à la France de faire les frais d’une telle expérimentation »

    Il n’y a pas eu de « rapport enterré par le gouvernement » sur le gaz de schiste, a assuré le secrétaire d’Etat à la réforme de l’Etat et à la simplification Thierry Mandon, mardi 7 avril sur i-Télé. Réagissant à la publication par Le Figaro d’un document sur « les nouvelles technologies d’exploration et d’exploitation des gaz de schiste » rendu en 2014 à Arnaud Montebourg, alors ministre du redressement productif, Thierry Mandon a jugé que ce « rapport soi-disant secret » provoquait « beaucoup de mouches pour pas grand-chose ». « Des notes confidentielles aux ministres, c’est assez fréquent », a t-il rappelé.
     
     
    Reprenant une partie seulement des pistes évoquées par les partenaires sociaux, le texte de loi favorise le regroupement des différentes instances de représentation du personnel.

    Le Monde - Réforme du dialogue social : le projet de loi transmis aux partenaires sociaux

    Le ministre du travail, François Rebsamen, vient de transmettre au Conseil d'Etat et aux partenaires sociaux son projet de loi relatif au dialogue social. Révélé par l'agence de presse spécialisée AEF et par Les Echos, le texte doit être présenté en conseil des ministres le 22 avril. L'exécutif a dû reprendre la main sur ce dossier, après l'échec, fin janvier, des discussions entre le patronat et les syndicats pour parvenir à un accord sur la refonte des institutions représentatives du personnel (IRP) dans les entreprises.

    Il y aura bien une motion regroupant les frondeurs et les deux sensibilités de l’aile gauche du parti. Du moins, à J-4 avant la date limite du dépôt des textes, c’est ce qui semble acquis du côté des contestataires.

    Public Sénat - Suicide de Jean Germain : « Le dénigrement indécent lui a été insupportable »

    Au PS, de nombreuses voix rendent hommage au sénateur Jean Germain, qui s’est suicidé ce mardi, le jour de l'ouverture du procès des « mariages chinois » auquel il devait comparaître. Il a été retrouvé mort près de son domicile.

    Le Figaro - Congrès: la semaine décisive du PS

    Des réunions tous les jours, y compris un samedi entier de week-end pascal. Des responsables socialistes pendus au téléphone. Au PS, les grandes manœuvres pour le congrès de Poitiers (du 5 au 7 juin) redoublent d'intensité à quelques jours de la date limite du dépôt des motions, fixée au vendredi 10 avril à minuit. Ces textes d'orientation de la ligne du parti, qui seront soumis au vote des adhérents le 21 mai, permettront de désigner le premier secrétaire du parti.

    7 avril

    Libé - Régionales : Marie-Pierre de la Gontrie repart à l'attaque contre Huchon

    La conseillère régionale socialiste aspire à être tête de liste aux élections de décembre, en Ile-de-France. Mais l'actuel président de région ne veut pas lâcher son siège.

    Var Matin - Benoît Hamon: "La gauche ne doit pas singer la droite"

    L’ancien ministre et figure de proue des "frondeurs" réclame plus que jamais un changement de cap vers la gauche... Et semble fermement convaincu d’être entendu par le gouvernement.

    Député des Yvelines, ministre délégué à l'Economie sociale de 2012 à 2014 puis fugace ministre de l'Education d'avril à août 2014, Benoît Hamon est aujourd'hui l'une des figures de proue des "frondeurs". S'il réclame invariablement une inflexion plus à gauche de la politique gouvernementale, il ne croit pas que le Parti socialiste soit au bord de la scission...

    Politis-  PS : les enjeux d’un congrès

    Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le congrès du PS, sans jamais oser le demander…Défait par les départementales et miné par les divisions, le PS prépare son congrès dans une ambiance plus tendue que jamais. Retour sur les principaux enjeux de ce rendez-vous des 5, 6 et 7 juin prochains, où pourrait bien se jouer la survie du Parti socialiste.

    Le Point - Défaite PS en Côtes-d'Armor: la fin d'une histoire vieille de 40 ans

    La défaite du PS aux élections départementales dans les Côtes-Armor a fait l'effet d'un séisme, par son ampleur apparente d'abord, mais surtout par son côté symbolique sur ces terres où le PS avait entamé sa conquête de la Bretagne il y a 40 ans.

    6 avril

    Francetvinfo - Anne Hidalgo : "Il faut que le gouvernement réagisse"

    Après les mauvais résultats des élections départementales, la maire de Paris réclame un changement de politique à François Hollande et au gouvernement.

    Libé - Pour Cuvillier (PS), Hollande est «trop entouré» de «technocrates»

    L’ex-secrétaire d’Etat aux Transports Frédéric Cuvillier s’en prend dans le Journal du dimanche au «monde des palais» qui «isole et éloigne de la réalité», déplorant que François Hollande soit «trop entouré» de «technocrates» et «coteries»

    Le JDD - Les Français d'accord pour garder Manuel Valls

    SONDAGE - Parmi les personnes interrogées, 62% ne veulent pas de changement de Premier ministre. Et 49 % seulement souhaitent un remaniement. Même si elles sont 63 % au FN et 56 % au Front de gauche.