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Ségolène Royal estime que le travail du dimanche crée des emplois
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Royal: "j'espère que le patron de Sanofi va renoncer à son bonus de bienvenue"
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"Le gouvernement sort sonné de l'épreuve du 49-3" dit Elizabeth Martichoux par rtl.fr
"Le gouvernement sort sonné de l'épreuve du 49... par rtl-fr -
Géopolitique : "Le véritable enjeu grec" par France Inter
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Le Monde - Le philosophe et le djihadiste Par Jacob Rogozinski
Dans une récente tribune (Le Monde, 28 janvier), Alain Badiou qualifie de « crime fasciste » l’assassinat des journalistes de Charlie Hebdo et des Juifs de l’hypermarché casher. Peu importe que les tueurs se soient réclamé Al-Qaida et de Daech, peu importe qu’ils aient donné à leur acte une signification religieuse (« nous avons vengé le Prophète ! ») : comme si rien n’avait changé depuis les années 1930, notre philosophe n’y voit que du « fascisme ». Il s’obstine en effet à ressusciter le vieux nom sanglant de « communisme » et à désigner comme « fasciste » ce qui lui fait obstacle. Obstination qui le rend sourd et aveugle à ce qu’il y a de nouveau, de singulier dans la situation présente.
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Le Monde - De part et d’autre de l’Atlantique, l’école à la peine face aux identités plurielles Par Robert Zaretsky
Au lendemain des attaques commises à Paris, les Américains ont suivi avec intérêt le débat qui s’imposait en France autour de la question de savoir comment l’on pouvait être Français. Nous avons notamment essayé de comprendre comment il était possible, et même peut-être s’il était possible, d’être à la fois pleinement Français et juif ou pleinement Français et musulman. Nous avons tenté, autrement dit, de cerner la place qu’occupait la religion dans la République française, République sœur fondée, comme la nôtre, sur le principe de laïcité.
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Observatoire des inégalités : Des services à domicile réservés aux plus fortunés
20 février 2015 - 17,7 % des cadres supérieurs emploient du personnel domestique, contre 2 % des employés ou des ouvriers. Les 10 % les plus aisés bénéficient de 60 % des avantages fiscaux liés aux services à domicile, alors que les 20 % les plus pauvres n’en profitent pas.
Rares sont les ménages qui accèdent à ces services, femme de ménage (pour l’essentiel), garde d’enfant ou jardinage. En 2011, 13 % des ménages ont employé du personnel à domicile au cours des deux derniers mois, selon une étude du ministère du Travail [1]. Jusqu’aux 80 % les moins fortunés, moins de 10 % des ménages sont concernés. Pour les 10 % les plus pauvres, la proportion n’est que de 6,9 %. Si 17,7 % des cadres supérieurs emploient du personnel à domicile, ce n’est le cas que de 2 % des employés ou des ouvriers, qui représentent près de la moitié des actifs.
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