Web Analytics

compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Non Fiction - Jean Tirole ou penser la complexité des marchés

    Comme l’a remarqué non sans ironie l’économiste et bloggeur Tyler Cowen, beaucoup des articles de Jean Tirole montrent que la question qu’il étudie « est bien compliquée. » Pour un journaliste, un bloggeur, ou un politique, c’est assez embêtant : pas de conclusion simple, intuitive, et claire, peu de prescriptions évidentes, et rarement de solution clé en mains au problème posé. Mais si les leçons à tirer de ses travaux sont plus subtiles, certaines sont également très profondes. Plusieurs travaux de Tirole et de ses co-auteurs ont profondément changé la manière dont les économistes réfléchissent à l’organisation de la production, à ses formes de régulation, et aux outils disponibles pour l’améliorer. Et l’influence de ces travaux s’est étendue, au-delà des cercles académiques, aux organes de régulation de nombreux secteurs d’activité.

    Lire la suite
    ______________________
    ______________________

  • Economie: "La loi Macron est survendue", estime Emmanuelli, député PS


    Economie: "La loi Macron est survendue", estime... par BFMTV

  • Laurent Baumel : "Nous ne sommes pas des fétichistes"


    Laurent Baumel : "Nous ne sommes pas des... par LCP

  • Claude Bartolone: «Il n'y a pas d'avenir à la gauche du PS» par Mediapart


    Claude Bartolone: «Il n'y a pas d'avenir à la... par Mediapart

  • La Vie des Idées - Les ouvriers, pionniers de la malbouffe ?

    Comment les classes laborieuses ont-elles vécu le passage de l’alimentation rurale à l’alimentation de l’ère industrielle ? Plutôt qu’une mutation dommageable, Kathleen L. Turner met en avant la variété de stratégies adoptées par les individus pour faire face à la place prise par l’industrie dans leur alimentation et de leurs existences.

    Recensé : Katherine Leonard Turner, How the Other Half Ate : A History of Working Class Meals at the Turn of the Century, Berkeley, Los Angeles, London, University of California Press, 2014, 201 p.

    Au delà des effets de mode intellectuelle, l’effervescence des Food Studies est révélatrice de profondes inquiétudes en Amérique du Nord et en Europe [1]. Comme souvent en temps de crise, l’alimentation devient un objet de cristallisation des peurs sociales et le livre de Katherine Leonard Turner, issu d’une thèse de doctorat soutenue en 2008 à l’université du Delaware, est un bon témoignage de l’évolution qui a conduit la question alimentaire des milieux militants aux cercles universitaires en passant par une large diffusion dans la société [2]. Travailler sur « les repas de la classe laborieuse au tournant du siècle » permet à l’auteur de revenir sur un moment sensible de l’histoire des États-Unis, celui de l’industrialisation, de la fin de la Frontière et de la naissance d’une nation, mais surtout d’éclairer ce qu’elle considère comme un moment clé de basculement vers les excès du présent. Ce livre, écrit dans une langue simple et agréable, destiné à sortir des cercles académiques, ne cesse de prendre son lecteur à témoin, de manière parfois naïve, pour qu’il mesure les distances parcourues et les échos d’une période révolue. Katherine Turner entend faire la preuve que la question alimentaire n’est pas triviale et qu’elle est révélatrice, comme les anthropologues et les sociologues l’ont montré depuis longtemps, des structures et des contradictions d’une société (Claude Lévi-Strauss), des hiérarchies et des rapports de classe (Jack Goody) et, plus largement, des logiques sociales de distinction (Pierre Bourdieu), de domination et de résistance, de coopération et d’affrontement, ce qui mérite évidemment examen dans notre monde actuel

    Lire la suite
    __________________
    __________________

     

  • Pascal Cherki (PS) : "Je n'ai pas été élu pour faire des régressions sociales"


    Pascal Cherki (PS) : "Je n'ai pas été élu pour... par LCP

  • Elisabeth Guigou, invitée de Guillaume Durand avec LCI


    Elisabeth Guigou, invitée de Guillaume Durand... par radioclassique

  • Terra Nova - Diviser par deux les consommations d’énergie d’ici 2050, c’est possible et nécessaire ! Note Par Antoine Guillou, Esther Jourdan, Pierre Musseau.

    Plusieurs organisations, dont l'IFRAP, ont récemment répété qu’une baisse des consommations d’énergie est incompatible avec la croissance économique. Cette note démontre que, portée par l'efficacité énergétique, elle est au contraire un moteur pour la compétitivité d'une économie, en plus d'être un impératif social et une condition du respect des engagements environnementaux.

    Synthèse

    Le projet de loi sur la transition énergétique fixe un objectif de division des consommations d’énergie par deux d’ici 2050. Lors de la lecture à l’assemblée nationale, les députés y ont adjoint un objectif intermédiaire de baisse de 20% d’ici à 2030 par rapport à l’année 2012. Mais en commission, les sénateurs ont déjà supprimé ce deuxième objectif, ce qui remet en cause sans le dire l’objectif à 2050 : si des efforts substantiels pour baisser les consommations d’énergie ne sont pas réalisés dans la prochaine décennie, il sera quasiment impossible d’atteindre un objectif plus ambitieux d’ici le milieu du siècle

    Lire la suite
    _______________________
    _______________________