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  • Politique Matin : Politique Matin : Gérard Collomb (PS)


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  • "Vous avez la chance d’assister en direct à un congrès du Parti socialiste !"


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  • Travail du dimanche : l'Etat discute avec "Sephora et LVMH", selon Pascal Cherki (PS)


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  • Christophe Caresche : "Je ne voudrais pas qu'on transforme cet hémicycle en salle de réunion du PS" par Le Lab d'Europe 1


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  • Slate - UMP, PS, abstentionnistes: qui s'est reporté sur le FN au second tour de la législative partielle du Doubs?

    La moitié des électeurs UMP du premier tour, et une petite minorité d'électeurs PS auraient basculé vers le FN au second. Le candidat PS aurait bénéficié d'une mobilisation des abstentionnistes du premier tour.

    Certaines élections se jouent deux fois: une première dans les urnes, une seconde dans les commentaires. Celles dans lesquelles le FN est présent au second tour relèvent souvent de cette catégorie. Ainsi, dans l'élection législative partielle du Doubs de dimanche dernier, à écouter les acteurs et les commentateurs, tout le monde avait gagné: le PS, évidemment; mais aussi le FN, «grand gagnant de la soirée» d'après sa candidate et Marine Le Pen; mais aussi l'UMP (je n'ai pas bien compris pourquoi, mais il y a sûrement une bonne raison). Ou alors, tout le monde a perdu: le FN; mais aussi le Parti socialiste, qui parvient tout juste à sauver son siège en perdant au passage de nombreuses voix; et enfin, évidemment, l'UMP.

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  • Observatoire des inégalités - Le taux de chômage selon le diplôme

    30 janvier 2015 -Le taux de chômage des non diplômés est trois fois supérieur à celui des diplômés d’études supérieures. Le diplôme est plus que jamais un atout pour accéder à l’emploi.


    Le taux de chômage des non diplômés est trois fois plus élevé que celui des personnes qui disposent d’un diplôme niveau bac + 2 en 2013. On compte 6 % de chômeurs chez les détenteurs d’un diplôme supérieur à bac + 2, contre 16,8 % chez les non diplômés. Le diplôme demeure une arme essentielle dans l’univers professionnel, que ce soit pour entrer sur le marché du travail ou progresser ensuite. La situation est très difficile pour ceux qui sortent du système scolaire sans qualification dans un système qui sur-valorise le diplôme par rapport à l’expérience personnelle.

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  • Libé - Le «jeune-de-banlieue» mange-t-il les enfants ? Thomas GUÉNOLÉ politologue et enseignant à HEC

    Face à une réalité composite, en plus d’être raciste et islamophobe, le stéréotype du «jeune-de-banlieue» est surtout parfaitement idiot.

    Le «jeune-de-banlieue», c’est l’ogre des temps modernes. Arabe mal rasé de 15-35 ans vêtu d’un survêtement à capuche, il se promène avec un cocktail Molotov dans une main et une kalachnikov dans l’autre. Il fume du shit dans les cages d’ascenseur, il brûle des voitures ; il gagne sa vie grâce à des trafics de toutes sortes et en fraudant les allocations sociales. Sa sexualité consiste à violer les filles en bande dans des caves ; sa spiritualité, à écouter les prêches djihadistes de l’«islam-des-banlieues», dans des caves également. Il hait la France, l’ordre, le drapeau, et bien sûr, il déteste les Français (comprendre : «les Blancs»). Il aime le jihad et l’islamisme. Son rêve : partir en Syrie se battre aux côtés d’Al Qaïda, pour ensuite revenir en France commettre des attentats. Il ne serait donc pas étonnant que bientôt les parents disent à leurs enfants : «si tu n’es pas sage, le jeune-de-banlieue viendra te chercher».

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  • La Vie des Idées - Quelles sont les limites de la liberté d’expression ? par Jean-Fabien Spitz

    le 10 février

    Le philosophe américain J. Waldron voudrait que les propos haineux soient réprimés aux États-Unis, parce qu’ils constituent un tort indéniable. Il faut donc selon lui restreindre la liberté d’expression. Mais est-ce la bonne manière d’établir fermement nos idéaux d’égale dignité et de laïcité ?

    À propos de : Jeremy Waldron, The Harm of Hate Speech, Cambridge, Harvard University Press, 2012, 304 p., $26, 95.
     
    Seuls parmi les grands pays de tradition démocratique, les États-Unis accordent à la liberté d’expression et de la presse une extension qui va jusqu’au point où son exercice présente un danger clair et imminent de violence pour les personnes ou de trouble à l’ordre public [1]. La jurisprudence contemporaine – même s’il y a quelques précédents en sens contraire – conduit en effet la Cour suprême a interpréter le premier amendement de la constitution (« Le congrès ne fera aucune loi… pour limiter la liberté d’expression, ou de la presse ») comme accordant à la liberté de parole et de presse une protection qui inclut les propos haineux (hate speech) à l’égard de minorités ethniques ou religieuses. Il est donc permis d’insulter ou de manifester son mépris – par la parole ou par l’image – à l’égard de ces minorités aussi longtemps que cette manifestation ne comporte pas le risque immédiat de déboucher sur des violences réelles ou des actes effectifs de discrimination
     
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