C'est quoi l'entreprise sociale du XXIe siècle? par liberation
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L’engagement de la France en Irak par Fondation Jean-Jaurès
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«Qu'est-ce qui est fait concrètement par les pouvoirs publics pour soutenir les entrepreneurs sociaux ?» par Libération
«Qu'est-ce qui est fait concrètement par les... par liberation -
Jean Gadrey - Du « grand espoir du 20ème siècle » à la grande angoisse du 21ème
Jean Fourastié avait écrit en 1949 « le grand espoir du 20ème siècle ». Pendant trois décennies, les faits lui ont donné raison presque en tous points. Les « Trente Glorieuses » ont vu un bond fabuleux de la productivité, une très forte réduction du temps de travail sur la journée, sur l’année et sur l’ensemble de la vie des individus, avec des conquêtes sociales considérables et une importante réduction des inégalités. Il prévoyait pour la fin du 20ème siècle la semaine de 30 heures et une durée de vie active de 35 ans, soit « les 40 000 heures » sur une vie active, titre de son livre de 1965. 40 000 heures, c’est environ 1.200 heures de travail par an pendant 35 ans. Certes, nous n’y sommes pas, mais pendant près de 40 ans, cette tendance a été vérifiée, avant de se gripper. Et d’ailleurs, si on raisonne sur l’ensemble de la population active, chômeurs compris, nous sommes environ aux 48.000 heures, bien plus proches de sa prévision que des 85.000 heures de 1950 et des 80.000 heures de 1965. La durée moyenne de vie au travail est actuellement de 34,2 ans en France, 34,5 ans dans l’UE à 27. Et j’avais montré dans ce billet que « La durée hebdomadaire moyenne du travail PAR PERSONNE ACTIVE est passée de 46h à 31h entre 1960 et 2010. En Allemagne, elle est de 29h ! »
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Libé - Insécurités territoriales Luc GWIAZDZINSKI Géographe et Gilles RABIN Economiste (laboratoire Pacte, Grenoble)
TRIBUNE
Après avoir abandonné la souveraineté budgétaire et monétaire à l’Europe pour un gain politique et économique dérisoire, l’Etat français s’apprête à rétrécir encore dans la précipitation et l’improvisation des réformes mal engagées.
Course à l’abîme. L’Etat se déshabille. Il est bientôt nu. Lui, qui s’occupait du temps long, de l’aménagement d’un territoire profond et de l’intérêt général, semble soumis à la dictature du court terme, de l’urgence, de la proximité et de l’émotion. Dans un double mouvement, les fondements d’une Nation construite autour de la République et de l’Etat s’effritent. Les valeurs républicaines semblent passées de mode, et l’Etat se solde lui-même pour des raisons budgétaires auxquelles la réforme territoriale ne répondra pas.
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Gaël Giraud : "La dérégulation financière est notre veau d'or" par Marianne
Marianne - Gaël Giraud: Le jésuite qui tient tête aux banques
L'économiste Gaël Giraud, auteur d'"Illusion financière", dénonce la collusion entre banques et haute finance publique, et propose un point de vue engagé sur la crise.
Gaël Giraud : "La dérégulation financière est... par Marianne2fr -
États généraux : audition de Pervenche Bérès et Renaud Thillaye par Parti socialiste
États généraux : audition de Pervenche Bérès et... par PartiSocialiste