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  • Bernard Cazeneuve : "Les contrôles seront multiples, il seront partout et aléatoires" Europe1fr


    Bernard Cazeneuve : "Les contrôles seront... par Europe1fr

  • Interview de Sylvie Guillaume sur la nouvelle Commission Juncker par Toute l'Europe


    Interview de Sylvie Guillaume sur la nouvelle... par www-touteleurope-eu

  • OFCE : Comment lire le cas Alstom par Jean-Luc Gaffard

    La situation d’Alstom a défrayé la chronique depuis que les dirigeants de l’entreprise ont annoncé leur intention de céder la branche énergie à General Electric et de procéder à une restructuration ressemblant fort à une vente à la découpe. Les pouvoirs publics ont vivement réagi devant ce qu’il jugeaient être un fait accompli, sollicitant un autre repreneur, en l’occurrence Siemens, dans la perspective de créer une ou des entreprises européennes dans des secteurs jugés stratégiques, à l’image d’Airbus. Avant de se rallier à la solution General Electric, entretemps améliorée tant sur la somme déboursée pour le rachat qu’en ce qui concerne les modalités de la future organisation industrielle. Ces péripéties, pour importantes qu’elles soient, ne doivent pas masquer une réalité plus générale, celle d’une désindustrialisation qui, entre autres, prend la forme du démantèlement de certaines grandes entreprises et qui résulte de l’incohérence d’une  gouvernance propre à ce qu’est devenu le capitalisme français.

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  • Jean-Marie Harribey, Alternatives Economiques : Supprimons la coupe du monde de l’équilibre budgétaire public

    Commençons par une petite histoire imaginaire, mais plus vraie que nature. Le pays A (comme Allemagne) a décidé la semaine dernière de bâtir le budget 2015 de son État à l’équilibre, c’est-à-dire de supprimer totalement le déficit budgétaire. Ce pays A a par ailleurs un excédent commercial extérieur. Dans le même temps, un second pays F (comme France, mais c’est un pur hasard) aura l’an prochain un déficit budgétaire et un déficit commercial extérieur. Dans cette petite histoire que nous contons, il n’existe que deux pays au monde : A et F. Et donc qui ne commercent qu’entre eux. Obligatoirement, l’économie A dégage une capacité de financement égale au besoin de financement de l’économie F. Cette obligation résulte de l’équilibre comptable de la somme des flux engendrés par tous les agents économiques, tant privés que publics. Que sont tous ces flux pour comprendre pourquoi le modèle A s’impose comme dominant F et donc le monde ?

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  • Libé - Stéphane Le Foll, Pour une croissance longue : favoriser la production contre la rente,

    Depuis la victoire de 2012, la gauche est confrontée à une situation économique extrêmement dégradée, fruit d’une crise dont les origines ne sont pas seulement conjoncturelles. L’économie française souffre depuis trop longtemps d’un positionnement industriel inadapté aux nouveaux marchés à conquérir. Quant à son modèle social, si précieux aujourd’hui dans son rôle d’amortisseur de crise, il n’offre pas toute la souplesse nécessaire pour soutenir une reprise rapide de l’économie.

    Est-ce un mal ? Je ne le crois pas, si on pense à long terme. Dès 2012, la gauche s’est retrouvée face à un dilemme : faut-il relancer à tout prix la demande intérieure comme nous y incitait une frange radicale de la gauche ou accepter enfin de regarder la réalité en face et tirer toutes les leçons du rapport de Louis Gallois sur l’état de notre appareil industriel ?

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  • Jean Gadrey - Le mondial du bonheur : et à la fin, c’est toujours le Danemark qui gagne !

    La tradition philosophique qui fait du bonheur un sujet majeur de réflexions sur la condition humaine est fort respectable. Mais la façon dont le bonheur est en passe de devenir une nouvelle pensée unique globalisée, réduite à des statistiques commentées (souvent par des économistes, ce qui n’arrange rien), sur la base d’un quasi-monopole de l’Institut Gallup dans la production des données mondiales, m’énerve de plus en plus.

    Cette mode planétaire ne date que de quelques années. La « commission Stiglitz » (2008-2009) m’a fourni un lieu d’observation en direct du lobbying ultra minoritaire mais très efficace de ceux de ses membres qui étaient les « spécialistes incontestés » du bonheur statistique. Ils n’étaient que deux sur les 25 membres (34 avec les rapporteurs) : Daniel Kahnemann (prix « Nobel » 2002) et Alan Krueger, son jeune et dynamique disciple à Princeton. Mais quelle efficacité !

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